URSS (20) Marine (6)

Situation en septembre 1954

Avant-propos

Qu’en tirer de ce conflit ? Contrairement aux marines occidentales, la marine soviétique n’à pu mener une guerre «glorieuse» fait de batailles majeures.

C’était une guerre de l’ombre, une guerre semblable à celle mener par la marine française durant le premier conflit mondial, guerre violente, cruelle et impitoyable mais qui peu mise en valeur alimenta une rancœur sourde, rancœur qui fût l’une des ingrédients des mutineries de la flotte de la mer Noire en 1919/20.

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URSS (18) Marine (4)

Porte-avions

Le fait est peu connu mais la marine impériale russe à été la première à étudié la construction d’un porte-avions et ce dès 1911 mais à l’époque différents problèmes techniques et le scepticisme général fit capoter le projet qui aurait vu la mise en œuvre d’avions du type Bleriot.

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URSS (1) Avant-Propos

UNE AUTRE SECONDE GUERRE MONDIALE
T-7 URSS

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AVANT-PROPOS

En ce 4 avril 2018 je commence officiellement le Tome 7 sur l’URSS. C’est le dernier des tomes majeurs de ma flamboyante uchronie, un travail titanesque qui me stimule mais qui parfois me terrifie par son étendue.

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Italie (50) OdB et Programme de guerre (2)

Programme de guerre

Avant-propos

Quand l’Italie entre en guerre en octobre 1948 la situation de la Regia Marina est en apparence plus favorable qu’en septembre 1939.

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Italie (42) Navires amphibies et troupes de marine

NAVIRES AMPHIBIES,TROUPES DE MARINE ET UNITES SPECIALES

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L’Adige 

Avant-propos

Longtemps les batailles navales ont davantage ressemblé à des batailles terrestres sur l’eau qu’à autre chose. Les galères romaines ou les trirèmes grecques cherchaient l’abordage puis l’infanterie embarquée qu’il s’agisse d’hoplites ou de légionnaires finissait le boulot.

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Italie (14) Regia Marina (4)

Contre-torpilleurs

Appelé Cacciatorpidiniere dans la langue de Dante, le contre-torpilleur est un domaine où les marines françaises et italiennes rivalisent pour obtenir le navire le plus puissant, le plus rapide et le plus efficace.

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Italie (1) Avant-Propos

UNE AUTRE SECONDE GUERRE MONDIALE
T.6 ITALIE

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Le drapeau italien durant la période Monarchique. 

AVANT-PROPOS

En ce 26 septembre 2017, j’annonce le début officiel de mon sixième tome de cette monumentale uchronie. Entamée en 2011, je ne pensai pas n’être rendu qu’au sixième tome six ans plus tard.

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Japon (56) Navires Amphibies

“MARINES SOLEIL LEVANT” : LES UNITES D’INFANTERIE DE LA MARINE IMPERIALE

Avant-propos

Pendant longtemps le combat naval ressemblait davantage à une bataille terrestre qu’autre chose. On cherchait l’abordage pour permettre à des soldats embarqués de prendre le contrôle du navire ennemi.

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Japon (13) Marine Impériale (6)

Marines Soleil Levant

Pendant le combat naval ressemblait davantage à une bataille terrestre qu’autre chose. On cherchait l’abordage pour permettre à des soldats embarqués de prendre le contrôle du navire ennemi.

Pas étonnant donc que les différentes marines disposaient d’unités d’infanterie plus ou moins conséquentes, certaines quasi-anonymes (les compagnies de débarquement) et d’autres bien plus prestigieuses (Royal Marines, Infanterie coloniale issue des Compagnies de la mer, Tercio de Armada).

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Japon (1) Avant-Propos

UNE AUTRE SECONDE GUERRE MONDIALE
TOME 5 : LE JAPON ET SES ALLIES

AVANT PROPOS

Après plus d’un an consacré aux Etats-Unis (septembre 2015-décembre 2016), je passe enfin à un nouveau tome de l’oeuvre d’une vie, une uchronie consacré à une seconde guerre mondiale alternative.

Après un tome 1 consacré à la France trop détaillé, un tome 2 à l’Allemagne commencé d’une certaine façon (aussi détaillée que la France) et terminée d’une autre (plus synthétique), j’ai trouvé avec le tome 3 consacré à la Grande-Bretagne un véritable équilibre, ni trop détaillé pour perdre le lecteur ni trop synthétique pour ne pas donner suffisamment de chair, de corps à un récit que j’espère vivant et passionnant.

Avec le Tome 4 consacré aux Etats-Unis, j’ai poursuivi le même modèle que le Grande-Bretagne mais en ajoutant des informations sur l’après guerre ce qui m’à conduit à devoir anticiper sur le conflit dans le Pacifique mais également sur le conflit en Europe ce qui va me pousser à mettre à jour certains faits avancés dans le tome 1 notamment les constructions navales.

J’espère ainsi avoir le temps (mais j’en doute) de mettre à jour le tome 1 sur la France pour que l’oeuvre soit la plus cohérente possible. Néanmoins si je n’ai pas le temps, je tiens à préciser que si il y à contradiction entre deux événements, c’est l’écrit le plus récent qui prime.

Avec ce Tome 5 consacré au Japon, j’espère atteindre enfin un vrai équilibre. J’espère surtout le rediger plus rapidement pour enfin pouvoir rédiger le récit du conflit.

L’organisation de ce tome sera semblable aux précédents avec tout d’abord une présentation historique, synthétique voir sommaire pour l’histoire avant le point de divergence (novembre 1939), plus détaillée ensuite.

La deuxième partie sera consacrée à la géopolitique du Japon, la volonté de créer une sphère de coprospérité (un empire colonial en termes moins hypocrites), les relations internationales avec les Etats-Unis, l’URSS, la France, la Grande-Bretagne _ennemis potentiels_ mais aussi les relations avec l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste _alliés plus ou moins importants_ . Il sera également l’occasion de parler des alliés japonais qu’ils soient officiels ou officieux.

La troisième partie sera consacrée à l’histoire de la Marine japonaise, les prémices lointains, l’histoire moderne (avec l’oeuvre d’un ingénieur maritime français Emile Bertin) et son évolution durant la Pax Armada.

La quatrième partie sera consacrée aux armes de la marine japonaise qui se distinguent guère des autres pays participants au conflit sauf peut être dans le domaine des torpilles et les redoutables «Long Lance».

La cinquième partie sera consacrée aux cuirassés et croiseurs de bataille japonais avec certains navires anciens mais aussi des navires modernes très puissants, les quatre Yamato avec leurs neuf canons de 460mm n’ayant aucun équivalent dans le monde.

Dans le domaine des porte-avions, les japonais n’ont rien à envier aux américains. L’Aéronavale japonaise est une arme d’élite avec des pilotes très entraînés qui allaient faire passer de sales moments aux navires et aux avions américains. Elle va cependant peiner à se renouveler et à croître ses moyens, son déclin contrastant cruellement avec l’expansion de l’aéronavale américaine.

La septième partie sera consacrée aux croiseurs lourds, objet d’une course remplaçant celle des cuirassés entre le Japon et les Etats-Unis après le traité de Washington. Ces puissants navires vont se heurter violemment à leurs homologues américains.

La huitième partie sera consacrée aux croiseurs légers. Si le Japon va s’illustrer dans le domaine des croiseurs lourds, dans le domaine des croiseurs légers, il va se montrer un peu en retrait, n’ayant guère d’appétence pour ce type de navires.

La neuvième partie sera consacrée aux destroyers. Avec la classe Fubuki, les japonais vont mettre en place une sorte d’étalon mondial du destroyer obligeant les autres grandes marines à réagir selon la maxime qui veut que l’adoption d’un système d’armes par un pays impose aux autres de s’en équiper. Les classes suivantes mis à part les Akitzuki ne seront que des redites des Fubuki.

La dixième partie sera consacrée aux sous-marins. Ces derniers occupent une place importante dans la stratégie navale nippone.

Les résultats vont être cependant décevants en raison de déficiences techniques, de classes multiples générant des problèmes logistiques et un choix contestable de viser les navires de guerre plutôt que les navires de soutien ou les navires marchands.

On verra même certains commandants de sous-marins être sanctionnés pour avoir utilisé leur pouvoir de nuisance et de destruction contre des navires de charge plutôt que contre des escorteurs !

La onzième partie sera consacrée aux navires légers. A la différence des américains, les japonais ne s’équiperont que de peu de navires légers qu’il s’agisse de véloces vedettes lance-torpilles, de patrouilleurs ou d’escorteurs, l’escorte étant méprisée par une marine où régnait un esprit offensif et quand la décision fut prise d’investir dans l’escorte, il était déjà trop tard……. .

Même chose pour les navires de soutien. Comme nous le verrons dans la douzième partie, la logistique sera négligée, le manque de navires de maintenance et de ravitaillement empêchant de tirer le maximum du potentiel de navires de combat dont les capacités n’avaient rien à envier à celles de leurs ennemis américains (sans compter l’entrainement de leurs équipages sans équivalent notamment dans le combat de nuit).

La treizième partie sera consacrée à l’aéronavale qu’il s’agisse de l’aviation embarquée, de l’hydraviation et d’unités basées à terre. La rivalité avec l’aviation de l’armée de terre va générer de regrettables doublons et faire perdre du temps et des moyens au Japon, doublons d’autant plus regrettables que le pays n’en à pas les moyens.

La quatorzième partie sera consacrée à l’infanterie de marine japonaise et aux navires amphibies, le Japon étant le premier pays à mettre en service un LSD.

La quinzième partie sera consacrée aux bases et aux arsenaux japonais. On parlera essentiellement des bases métropolitaines comme Kure Maizuru Sasebo et Yokosuka mais également des bases en outre-mer ainsi que des facilités offertes notamment par la Thaïlande.

Le Japon va également réutiliser des bases ennemies capturées mais faute de temps et de moyens, leur impact sur la stratégie et la logistique japonaise seront limitées.

La seizième partie sera consacrée à l’ordre de bataille de la marine japonaise en septembre 1948 ainsi que les constructions décidées durant le conflit.

La dix-septième partie sera consacrée à l’armée de terre japonaise, son histoire, l’organisation de ses grandes unités, ses uniformes, ses armes et ses véhicules.

Enfin la dix-huitième et dernière partie sera consacrée à l’armée de l’air qui comme pour les Etats-Unis est semi-autonome, dépendant du haut commandement de l’armée de terre.

On étudiera son histoire, son organisation, ses tactique et l’évolution de son parc aérien qui de bonne facture en septembre 1948 va peu à peu décliner, la faute à une industrie incapable de fournir autant d’avions que son homologue américaine.

Et comme d’habitude je vous souhaite une agréable lecture. N’hésitez pas à laisser des commentaires et à recommander ce blog à vos amis amateurs d’uchronie

Claus,maître d’Uchronia