Dominions (67) Australie (11)

Autres navires de surface

Corvettes classe Flower

Corvette HMS Myosotis

La corvette HMS Myositis de classe Flower

Bien que la lutte anti-sous-marine à été négligée durant la période 1919/1939 (faute de volonté et/ou de moyens), la construction de navires de protection contre les submersibles s’est poursuivit notamment en Grande-Bretagne qui construit plusieurs classes de sloop sans compter des chalutiers armés.

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12-Torpilleurs légers (28)

Le Catalan

Le drapeau de la Catalogne

Le drapeau de la Catalogne

-Le Catalan est mis sur cale aux  Forges et Chantiers de la Méditerranée (FCM) à la Seyne sur Mer le 13 septembre 1942 lancé le 10 mars 1944 et mis en service le 5 septembre 1945

Le Catalan et son compère Le Béarnais ont quitté Lorient et la métropole avant même leur admission au service actif officielle qui à comme souvent été retardé par des tracasseries administratives de bureaucrates zélés.

Ils appareillent ainsi du port morbihanais le 15 juillet 1945 et rallient l’Indochine le 16 octobre, prenant contact au large de Saïgon avec Le Duquesne et ses sister-ships Savoyard et Niçois, le croiseur lourd et la 7ème DT rentrant à Cam-Ranh le 18 octobre 1945.

Les deux nouveaux venus passent au bassin du 18 au 22 octobre pour inspection et travaux sur les œuvres vives, effectuant une courte sortie d’entraînement le 23 octobre pour vérifier que l’appareil évaporatoire et l’appareil propulsif n’ont pas trop souffert de la longue traversée.

Après un entraînement avec les croiseurs Duquesne et Duguay Trouin du 25 au 29 octobre, Le Catalan sort pour un entraînement de division du 6 novembre au 21 décembre 1945, restant à quai pour la fin de l’année civile.

Après un entraînement divisionnaire allégé du 2 au 23 janvier, Le Catalan effectue du 28 janvier au 12 février un entraînement commun avec le Niçois et les croiseurs Duquesne et Duguay-Trouin sans oublier la participation de l’armée de l’air. Il enchaine ensuite par deux entraînements de division : le premier du 21 février au 3 avril et le second du 11 avril au 27 mai 1946.  

Le Catalan sort pour un entraînement en solitaire du 4 au 12 juin avant de participer en compagnie du Niçois aux essais (18 au 20 juin) et à la remise en condition (22 juin au 7 juillet) du Savoyard avec lequel il participe aux essais (10 au 12 juillet) et à la remise en condition (14 au 28 juillet) du Béarnais.

Le Catalan est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 1er au 22 août, sortant pour essais du 23 au 25 août et pour remise en condition du 27 août au 9 septembre, à chaque fois en compagnie des autres torpilleurs de la division qui fait escale à  Haïphong du 10 au 15 septembre avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Le Catalan enchaine ensuite par un entraînement de division du 23 septembre au 18 décembre 1946, entraînement marqué notamment par un exercice avec le croiseur lourd Saint Louis du 1er au 6 octobre et une série de joutes antisurface entre l’Équipe Bleue (Savoyard et Béarnais) et l’équipe Rouge (Niçois Catalan)

Après un entraînement de division du 6 janvier au 18 février en compagnie du Niçois et du Béarnais, Le Catalan participe avec ses deux compères disponibles de la 7ème DT aux essais (26 au 28 février) et à la remise en condition (1er au 10 mars) du Niçois qui redevient alors navire-amiral de la 7ème DT.

Après un entraînement commun de la 7ème DT avec le croiseur lourd Tourville du 12 mars au 4 avril, Le Catalan sort pour entraînement de division en compagnie du Savoyard et du Béarnais du 12 avril au 28 mai avant de participer _toujours en compagnie des deux autres navires disponibles_ aux essais (26 au 28 mai) et à la remise en condition (30 mai au 13 juin) du Niçois à l’issue de son grand carénage.

Le Catalan sort pour entraînement du 20 juin au 3 juillet, participant ensuite en compagnie du Niçois aux essais (6 au 8 juillet) et à la remise en condition (10 au 25 juillet) du Savoyard.

Indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 28 juillet au 17 août, il sort pour essais du 18 au 20 août et pour remise en condition du 22 août au 5 septembre, à chaque fois en compagnie de ses trois compères de la 7ème DT.

La division ainsi reconstituée faisant escale à Haïphong du 6 au 9 septembre, à Hong Kong du 11 au 15 septembre, à Manille du 17 au 22 septembre, à Saïgon du 25 au 30 septembre avant de rentrer à Cam-Ranh le 1er octobre 1947. Le Catalan termine l’année par un entraînement de vision exécuté du 8 octobre au 23 décembre 1947.

Après un entraînement de division au complet du 4 janvier au 2 mars 1948, Le Catalan participe à un entraînement de division sans Le Béarnais alors en grand carénage et ce du 7 mars au 14 avril 1948.

Le Catalan subit alors un grand carénage, étant échoué du 16 avril au 30 mai 1948 pour remise en état et modernisation de l’électronique. Armé pour essais le 6 juin, il sort pour essais du 7 au 9 juin et pour remise en condition du 11 au 25 juin à chaque fois en compagnie de ses trois compères de la 7ème DT avec qui il rentre à Cam-Ranh le lendemain.

Les torpilleurs légers Catalan et Béarnais sortent pour un entraînement commun du 2 au 15 juillet avant de participer aux essais (17 au 19 juillet) et à la remise en condition (21 juillet au 5 août) du Savoyard.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 7ème DT participent ensuite aux essais (8 au 10 août) et pour remise en condition (12 au 26 août) du Niçois, les quatre torpilleurs rentrant le lendemain 27 août 1948 à Cam-Ranh.

Quand éclate la guerre en Europe le 5 septembre 1948, la 7ème DT était à quai même si elle se préparait à sortir pour un entraînement de division.

Schéma des Le Fier avec en rouge les canons de 37mm antiaériens (quatre affûts doubles)

Schéma des Le Fier avec en rouge les canons de 37mm antiaériens (quatre affûts doubles)

Caractéristiques Techniques de la classe Le Fier

Déplacement : Washington 1010 tW en charge normale 1106 tonnes en surcharge de temps de guerre 1376 tonnes

Dimensions : longueur hors tout 95.40m longueur entre perpendiculaires 90.00m largeur 9.40m tirant d’eau réel 3.196m

Propulsion : deux groupes de turbines à engrenages (Rateau pour les ACB, Parson pour les ACL et les FCM) alimentées en vapeur par trois chaudières développant à la PMN (Puissance Maximale Normale) 28000ch et entrainant deux hélices

Performances : vitesse maximale 34 noeuds distance franchissable : 2500 miles nautiques à 15 noeuds

Électronique : installation au cours des grands carénages (d’origine pour Les Niçois Savoyard Catalan et Béarnais) d’un Asdic, d’un radar de navigation et d’un radar de veille combinée

Armement :

(Prévu à l’origine) :  quatre canons de 100mm modèle 1932 en deux pseudo-tourelles modèle 1937 installées à l’arrière; huit mitrailleuses de 13.2mm modèle 1929 en quatre affûts doubles, deux affûts doubles lance-torpilles Schneider 1300-1160, une torpille remorquée Ginocchio, un grenadeur de sillage et deux mortiers Thornycroft.

(A leur admission au service actif) :  

-Quatre canons de 100mm modèle 1932 en deux pseudo-tourelles modèle 1937 installées à l’arrière

-Les Le Fier L’Entreprenant Le Farouche et L’Agile disposaient de huit mitrailleuses de 13.2mm modèle 1929 en quatre affûts doubles alors que leurs sister-ships disposaient de huit canons de 37mm Schneider modèle 1941 en affûts simples,

-Deux affûts doubles lance-torpilles

-deux grenadeurs de sillage

(En septembre 1948)

-Quatre canons de 100mm modèle 1932 en deux pseudo-tourelles modèle 1937 installées à l’arrière

-Huit canons Schneider modèle 1941 en quatre affûts doubles modèle 1943 (un à l’avant, deux à l’arrière de la cheminée n°2 et un juste derrière la tourelle II de 100mm)

-Deux affûts doubles lance-torpilles

-deux grenadeurs de sillage

Equipage : 136 officiers et marins (un officier supérieur commandant, six officiers subalternes, un premier maitre, quatre maitres, seize seconds-maitres et cent-huit quartiers-maitres et matelots

12-Torpilleurs légers (27)

Le Béarnais

Drapeau du Béarn

Drapeau du Béarn

-Le Béarnais mis sur cale aux  Forges et Chantiers de la Méditerranée (FCM) sis à la Seyne sur Mer le 12 septembre 1942 lancé le 5 mars 1944 et mis en service le 5 septembre 1945.

Le Béarnais et son compère Le Catalan ont quitte Lorient et la métropole avant même leur admission au service actif officielle qui à comme souvent été retardée par des tracasseries administratives de bureaucrates zélés.

Les deux derniers torpilleurs légers de classe Le Fier quittent Lorient le 15 juillet 1945 et traversant l’Atlantique direction Fort de France où ils font escale du 22 au 25 juillet avant de traverser la mer des Caraïbes, faisant escale à Kingston du 30 juillet au 2 août, les deux torpilleurs légers arrivant à Colon (Panama) le 7 août 1945.

Ils franchissent le canal de Panama les 8 et 9 août, se ravitaillent à Balboa le 10 avant de remonter la côte Pacifique, faisant escale à San Francisco du 15 au 20 août 1945. C’est ensuite la traversée du Pacifique direction Oahu où Le Béarnais et le Catalan arrivent le 30 août après une traversée éprouvante.

Reprenant la mer le 10 septembre, les deux torpilleurs légers font escale à Guam du 17 au 21 septembre puis sont à Manille du 26 au 30 septembre, effectuent un exercice avec l’Asiatic Fleet du 1er au 7 octobre, se ravitaillant à Subic le 8  avant d’effectuer un insolite crochet par Singapour du 12 au 14 octobre avant de mettre enfin le cap sur Saïgon.

Le 16 octobre vers midi, les torpilleurs légers prennent contact avec le croiseur lourd Duquesne et leurs sister-ships Savoyard et Niçois. Le Béarnais et le Catalan sont ainsi ravitaillés par le croiseur lourd avant que la 7ème DT ainsi constituée et le croiseur lourd ne rallient Cam-Ranh le 18 octobre 1945 dans la soirée.

Les deux nouveaux venus passent au bassin du 18 au 22 octobre pour inspection et travaux sur les œuvres vives, effectuant une courte sortie d’entraînement le 23 octobre pour vérifier que l’appareil évaporatoire et l’appareil propulsif n’ont pas trop souffert de la longue traversée.

Après un exercice d’entraînement avec les croiseurs Duquesne et Duguay-Trouin du 25 au 29 octobre, Le Béarnais et ses trois compagnons de division effectuent un premier entraînement de division du 6 novembre au 21 décembre 1945.

Après un entraînement de division allégé du 2 au 23 janvier, Le Béarnais et Le Savoyard effectuent un exercice antisurface du 30 janvier au 7 février, une escale à Hué du 8 au 13 février avant de rentrer à Cam-Ranh le 14 février 1946.

Le Béarnais enchaine alors deux entraînements de division, le premier du 21 février au 3 avril et le second du 11 avril au 27 mai 1946, le torpilleur léger comme ses trois sister-ships entrant alors dans le cycle des indisponibilités estivales pour entretien et permissions de l’équipage.

Après un entraînement à la défense aérienne à la mer du 4 au 12 juin, Le Béarnais rentré à Cam-Ranh le 13  est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 18 juin au 9 juillet 1946, sortant pour essais du  10 au 12 juillet et pour remise en condition du 14 au 28 juillet, à chaque fois en compagnie de ses sister-ships Savoyard et Catalan.

Le Béarnais et Le Savoyard sortent ensuite pour les essais (1er au 3 août) et la remise en condition (5 au 19 août)  du torpilleur léger Niçois.
Les torpilleurs légers Béarnais Savoyard et Niçois participent ensuite aux essais (23 au 25 août) et à la remise en condition (27 août au 9 septembre) du Catalan, la division au grand complet faisant escale à Haïphong du 10 au 15 septembre avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Le 23 septembre, la 7ème DT quitte Cam-Ranh pour un nouvel entraînement de division qui l’ occupe du 23 septembre au 18 décembre avec notamment une séquence avec le croiseur lourd Saint Louis et une série de joutes antisurfaces, l’équipe bleue (Savoyard et Béarnais) affrontant l’équipe rouge (Niçois et Catalan) au large de Cam-Ranh avec ou sans le concours des batteries côtières et de l’aviation. La 7ème DT mouille dans l’embouchure de la rivière Saïgon du 12 au 17 décembre avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Alors que Le Savoyard est immobilisé pour grand carénage, Le Béarnais participe du 6 janvier au 18 février au premier entraînement de division de l’année en compagnie donc de ses sister-ships Niçois et Catalan.

Les trois torpilleurs disponibles de la 7ème DT participent ensuite aux essais (26 au 28 février) et à la remise en condition (1er au 10 mars) du Niçois qui redevient alors navire-amiral de la 7ème DT qui réalise ensuite un exercice commun  avec le Tourville et du 12 mars au 4 avril 1947.

Le Béarnais participe du 12 avril au 18 mai à un entraînement de division en compagnie du Savoyard et du Catalan, les trois torpilleurs disponibles de la 7ème DT enchainant par les essais (26 au 28 mai) et  la remise en condition (30 mai au 13 juin) du Niçois après sa sortie de grand carénage.

Le Béarnais sort pour école à feux du 20 au 27 juin puis effectue une escale à Hué du 28 juin au 2 juillet avant de rallier Cam-Ranh le 3. Indisponible du 6 au 27 juillet, il sort pour essais (28 au 30 juillet) et pour remise en condition (1er au 14 août) en compagnie de ses compères Savoyard et Niçois.

Les torpilleurs légers Béarnais Savoyard et Niçois participent ensuite aux essais (18 au 20 août) et à la remise en condition (22 août au 5 septembre) du Catalan, la division ainsi reconstituée faisant escale à Haïphong du 6 au 9 septembre, à Hong Kong du 11 au 15 septembre, à Manille du 17 au 22 septembre, à Saïgon du 25 au 30 septembre avant de rentrer à Cam-Ranh le lendemain.

L’année se termine par un entraînement de division du 8 octobre au 22 décembre avec une école à feux (8 au 18 octobre), un exercice avec les sous-marins Germinal et Thermidor de la 23ème DSM (25 octobre au 2 novembre), un entraînement à la défense aérienne à la mer du 5 au 12 novembre avant de terminer par une série de joutes antisurfaces du 19 novembre au 22 décembre.

Après un entraînement de division du 8 janvier au 2 mars 1948, Le Béarnais débarque ses munitions et vidange ses soutes avant d’être échoué au bassin du 4 mars au 15 avril 1948 pour son premier grand carénage consacré à une remise en état complète et une modernisation de l’électronique avec l’aide de composants venus de France.

Armé pour essais le 21 avril, Le Béarnais sort pour ses essais réglementaires du 22 au 24 avril puis pour sa remise en condition du 26 avril au 10 mai, à chaque fois en compagnie du Niçois et du Savoyard, les trois torpilleurs légers faisant escale à Haïphong du 11 au 15 mai, à Hué du 16 au 21 mai et à Tourane du 22 au 27 mai, ralliant Cam-Ranh le lendemain 28 mai 1948.

Le Béarnais accompagné par ses sister-ships Savoyard et Niçois participent ensuite aux essais (7 au 9 juin) et à la remise en condition du Catalan (11 au 25 juin), les quatre torpilleurs légers ralliant Cam-Ranh le lendemain.
Les torpilleurs légers Béarnais et Catalan sortent pour un entraînement commun du 2 au 15 juillet avant de participer aux essais (17 au 19 juillet) et à la remise en condition (21 juillet au 5 août) du Savoyard.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 7ème DT participent ensuite aux essais (8 au 10 août) et pour remise en condition (12 au 26 août) du Niçois, les quatre torpilleurs rentrant le lendemain 27 août 1948 à Cam-Ranh.

Quand éclate la guerre en Europe le 5 septembre 1948, la 7ème DT était à quai même si elle se préparait à sortir pour un entraînement de division.

12-Torpilleurs légers (26)

Le Niçois

Drapeau du Comté de Nice

Drapeau du Comté de Nice

-Le Niçois mis sur cale aux Forges et Chantiers de la Méditerranée (FCM) sis à La Seyne sur Mer le 15 mars 1941 lancé le 21 septembre 1942 et mis en service le 15 mars 1944

Son admission au service actif permet l’activation de la 7ème DT qu’il forme avec son sister-ship Le Savoyard, les deux membres de la 7ème Division de Torpilleurs sortant pour deux entraînements de division, le premier du 25 mars au 5 mai et le second du 12 mai au 21 juin 1944.

Alors que Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions d’équipage, Le Niçois sort pour une école à feux du 25 juin au 2 juillet, faisant escale à Douarnenez du 3 au 8 juillet avant de rentrer à Lorient le 9 juillet 1944.

Indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 14 juillet au 4 août, Le Niçois sort pour essais (5 au 7 août) et pour remise en condition (9 au 23 août) en compagnie du Savoyard, les deux torpilleurs légers rentrant à Lorient le lendemain.

Le Niçois et Le Savoyard termine l’année par deux entraînements de division, le premier dans le Golfe de Gascogne du 1er septembre au 12 octobre et le second au large des côtes marocaines du 25 octobre au 5 décembre, cet exercice étant suivit d’escales à Gibraltar, Cadix et Lisbonne avant un retour à Lorient le 19 décembre 1944.

L’affectation en Indochine approchant, Le Niçois passe au bassin du 3 au 20 janvier 1945 pour inspection et travaux sur les œuvres vivres. Il sort pour essais du 21 au 23 janvier puis pour remise en condition du 25 janvier au 5 février, à chaque fois en compagnie du Savoyard.

Après un dernière entraînement de division du 8 février au 3 mars 1945, Le Niçois et Le Savoyard quittent Lorient le 9 mars pour rallier l’Indochine le 10 juin 1945 via les Antilles, le canal de Panama, le Pacifique et les Philippines.

Les deux torpilleurs légers passent au bassin du 11 au 17 juin pour inspection et quelques menues réparations.

Ils sortent ensuite pour entraînement avec le croiseur lourd Duquesne du 25 juin au 5 juillet puis avec le Duquesne et le Duguay-Trouin du 6 au 15 juillet, les quatre navires remontant la rivière Saïgon pour mouiller à Saïgon jusqu’au 25 juillet, rentrant deux jours plus tard à Cam-Ranh.

Alors que Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage, Le Niçois sort pour entraînement dans le Golfe du Tonkin du 1er au 12 août, faisant escale à Haïphong du 13 au 15 août, rentrant le lendemain  à Cam-Ranh.

Indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 18 août au 8 septembre, Le Niçois sort pour essais du 9 au 11 septembre et pour remise en condition du 13 au 27 septembre à chaque fois en compagnie de son compère Le Savoyard, les deux torpilleurs légers ralliant ensuite Haïphong le 28 septembre pour un exercice commun avec le patrouilleur La Cordelière du 30 septembre au 8 octobre, les deux torpilleurs légers rentrant à Cam-Ranh le lendemain.

Le 16 octobre 1945,  Le Niçois et Le Savoyard quittent Cam-Ranh en compagnie du Duquesne pour accueillir au large de Saïgon les torpilleurs légers Le Béarnais et Le Catalan venus de Métropole pour permettre à la 7ème DT d’atteindre son format définitif. Le Duquesne ravitaille les deux torpilleurs venus de métropole, les cinq navires arrivant à Cam-Ranh le 18 octobre 1945 dans la soirée.
La 7ème DT au grand complet sort pour entraînement en compagnie des croiseurs Duquesne et Duguay-Trouin du 25 au 29 octobre avant que la 7ème DT ne termine l’année par son premier entraînement de division du 6 novembre au 20 décembre 1945.

Après un entraînement de division allégé du 2 au 23 janvier 1946, Le Niçois sort en compagnie du Catalan pour un entraînement commun avec les deux croiseurs des FNEO et l’armée de l’air et ce du 28 janvier au 12 février, les deux croiseurs et les deux torpilleurs ralliant Cam-Ranh dans la foulée.

Le Niçois enchaine alors deux entraînements de division avant d’entrer dans le cycle des indisponibilités estivales : le premier du 21 février au 3 avril et le second du 11 avril au 27 mai 1946.

Le Niçois sort pour un entraînement en solitaire dans le Golfe du Tonkin du 4 au 15 juin, ralliant Cam-Ranh le lendemain. Il participe ensuite avec le Catalan aux essais (18 au 20 juin) et à la remise en condition (22 juin au 7 juillet) du Savoyard.

Le Niçois est à son tour indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 10 au 31 juillet, sortant pour essais du 1er au 3 août et pour remise en condition du 5 au 19 août à chaque fois en compagnie de ses compères Savoyard et Béarnais.

Les torpilleurs légers Niçois, Savoyard et Béarnais participent ensuite aux essais (23 au 25 août) et à la remise en condition (27 août au 9 septembre) du Catalan, la division au grand complet faisant escale à Haïphong du 10 au 15 septembre avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Le 23 septembre, la 7ème DT quitte Cam-Ranh pour un nouvel entraînement de division qui à lieu du 23 septembre au 11 décembre avec un exercice commun avec le croiseur lourd Saint Louis du 1er au 6 octobre (plus une escale à Haïphong jusqu’au 11 octobre). Après une escale dans la rivière Saigon du 12 au 17 décembre, la division rentre à Cam-Ranh le lendemain.

Le 1er janvier 1947, Le Niçois devient chef de division en remplacement du Savoyard qui entre en grand carénage.

Il étrenne son nouveau statut par le premier entraînement de division de l’année qui à lieu du 6 janvier au 11 février, les trois torpilleurs légers disponibles faisant escale à Haïphong du 12 au 17 février avant de rentrer le lendemain à Cam-Ranh.

Les trois torpilleurs disponibles de la 7ème DT participent ensuite aux essais (26 au 28 février) et à la remise en condition (1er au 10 mars) du Niçois qui redevient alors navire-amiral de la 7ème DT.

Le Niçois sort à nouveau du 12 mars au 4 avril pour un exercice commun de la 7ème DT avec le croiseur Tourville. Les torpilleurs légers laissent le croiseur lourd remonter la rivière Saïgon pour rentrer à Cam-Ranh, Le Niçois devant subir son premier grand carénage.

Le Niçois débarque alors ses munitions et vidange ses soutes avant d’être échoué au bassin du 7 avril au 15 mai 1947 pour une remise en état complète et une modernisation de son électronique à l’aide de composants venus de France.

Armé pour essais le 25 mai, il sort pour ses essais post-carénage du 26 au 28  puis pour sa remise en condition du 30 mai au 13 juin, à chaque fois en compagnie de ses trois compères de la 7ème DT.

Après un entraînement à la défense aérienne à la mer du 20 au 27 juin, Le Niçois participent en compagnie du Catalan aux essais (6 au 8 juillet) et à la remise en condition (10 au 25 juillet) du Savoyard.

Les torpilleurs légers Niçois et Savoyard sortent ensuite pour les essais (28 au 30 juillet) et pour la remise en condition (1er au 14 août) du Béarnais, les trois torpilleurs légers disponibles de la 7ème DT sortent alors pour les essais (18 au 20 août) et la remise en condition (22 août au 5 septembre) du Catalan, la division ainsi reconstituée faisant escale à Haïphong du 6 au 9 , à Hong Kong du 11 au 15, à Manille du 17 au 22, à Saïgon du 25 au 30 septembre avant de rentrer à Cam-Ranh le lendemain.

Le Niçois et ses trois compères de la 7ème DT terminent l’année 1947 par un entraînement de division du 8 octobre au 23 décembre 1947, date à laquelle les quatre «1010 tonnes» rentrent à Cam-Ranh.

Après un entraînement de division du 8 janvier au 2 mars 1948 réalisé au complet, Le Niçois participe ensuite à un nouvel entraînement de division sans le Béarnais qui subit son premier grand carénage, la 7ème DT effectuant cet entraînement divisionnaire du 7 mars au 14 avril 1948.

Alors que Le Catalan subit son grand carénage, les torpilleurs Niçois et Savoyard participent aux essais (22 au 24 avril) et à la remise en condition (26 avril au 10 mai) du Béarnais, les trois torpilleurs légers faisant escale à Haïphong du 11 au 15 mai, à Hué du 16 au 21 mai et à Tourane du 22 au 27 mai, ralliant Cam-Ranh le lendemain.

Le Niçois accompagné par ses sister-ships Savoyard et Niçois participent ensuite aux essais (7 au 9 juin) et à la remise en condition du Catalan (11 au 25 juin), les quatre torpilleurs légers ralliant Cam-Ranh le lendemain.

Le Niçois sort pour un entraînement en solitaire dans le golfe de Siam du 3 au 14 juillet, rentrant à Cam-Ranh le 15 juillet. Indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 17 juillet au 7 août, le Niçois sort pour essais (8 au 10 août) et pour remise en condition (12 au 26 août) à chaque fois en compagnie de ses trois compères de division, les quatre torpilleurs rentrant le  27 à Cam-Ranh.

Quand éclate la guerre en Europe le 5 septembre 1948, la 7ème DT était à quai même si elle se préparait à sortir pour un entraînement de division.

12-Torpilleurs légers (25)

Le Savoyard

Drapeau de la Savoie

Drapeau de la Savoie

-Le Savoyard est mis sur cale aux  Forges et Chantiers de la Méditerranée (FCM) à la Seyne sur Mer le 5 mars 1941 lancé le 12 septembre 1942 et mis en service en décembre 1943.

A Lorient depuis le 4 mars 1943, le torpilleur léger Savoyard commence l’année 1944 par une succession de sorties d’entraînement en solitaire en attendant la mise en service du Niçois. Il sort ainsi pour des écoles à feux du 7 au 15 janvier, du 22 au 30 janvier et du 3 au 10 février 1944.

Le Savoyard sort pour un entraînement au combat antisurface du 15 au 22 février, fait escale à La Pallice du 23 au 28 avant un entraînement à la défense aérienne à la mer du 29 février au 8 mars, rentrant à Lorient le lendemain.

Le 15 mars 1944, Le Niçois est admis au service actif permettant l’activation de la 7ème DT qui est provisoirement affecté à la 3ème Escadre Légère en attendant son affection définitive au sein des FNEO.

La 7ème DT sort pour un premier entraînement de division du 25 mars au 4 mai, rentrant à Lorient le lendemain. Il est suivit d’un nouvel entraînement de division du 12 mai au 20 juin, rentrant le 21 à Lorient.

Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 22 juin au 13 juillet, sortant pour essais du 14 au 16 juillet et pour remise en condition du 17 au 31 juillet. Il participe ensuite aux essais (5 au 7 août) et à la remise en condition (9 au 23 août 1944) du Niçois, les deux torpilleurs légers rentrant à Lorient le 24 lendemain.

Le Savoyard et le Niçois effectuent un nouvel entraînement de division du 1er septembre au 12 octobre, date à laquelle la 7ème DT rentre à son port d’attache morbihanais.

Il est suivit par un nouvel entraînement de division effectué au large du Maroc. Arrivés à Casablanca le 23 octobre, ils s’entraînent au large des côtes du protectorat du 25 octobre au 2 décembre. Repartant de Casablanca trois jours plus tard, ils rentrent à Lorient le 19 décembre 1944 après des escales  à Gibraltar du 6 au 8, à Cadix du 9 au 12 et à Lisbonne du 13 au 17.

L’affectation en Indochine approchant, Le Savoyard passe au bassin du 20 décembre 1944 au 2  janvier 1945 pour inspection et travaux sur les œuvres vivres. Il sort ensuite pour essais du 3 au 5 janvier et pour remise en condition du 6 au 16 janvier 1945. Il participe ensuite aux essais (21 au 23 janvier) et à la remise en condition (25 janvier au 5 février) du Niçois qui lui aussi avait été mis au sec.

La 7ème DT effectue un dernier entraînement de division avant leur départ pour l’Indochine du 8 février au 3 mars 1945, date de leur retour à Lorient.

Après avoir rempli leurs soutes en carburant, vivres et munitions, les deux torpilleurs légers quittent Lorient le 9 mars, traversant l’Atlantique direction Fort de France où ils arrivent le 14. Ils repartent le 18 mars, faisant escale à Kingston (Jamaïque) du 22 au 25 mars avant de rallier Colon (Panama) où ils font escale du 30 mars au 2 avril.

Ils franchissent le canal de Panama les 3 et 4 avril avant d’être à Balboa du 5 au 8 puis à Acapulco du 11 au 15.

Ils franchissent le Pacifique jusqu’à Pearl Harbor où ils font escale du 22 au 27 avril, ralliant ensuite Midway pour une courte escale du 30 avril au 3 mai.

Reprenant la mer, les deux torpilleurs légers sont à Guam du 7 au 12 mai, à Cavite en baie de Manille du 17 au 24 mai, manœuvrant ensuite avec l’Asiatic Fleet du 25 mai au 2 juin, se ravitaillant à Subic Bay le 3 juin avant de rallier Cam-Ranh où ils arrivent le 10 juin 1945.

Les deux torpilleurs légers passent au bassin du 11 au 17 juin pour inspection et quelques menues réparations. Ils sortent ensuite pour entraînement avec le croiseur lourd Duquesne du 25 juin au 5 juillet puis avec le Duquesne et le Duguay-Trouin du 6 au 15 juillet, les quatre navires remontant la rivière Saïgon pour mouiller à Saïgon jusqu’au 25 juillet, rentrant deux jours plus tard à Cam-Ranh.

Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 28 juillet au 17 août 1945, sortant pour essais du 18 au 20 août puis pour remise en condition du 22 août au 5 septembre.

Il participe ensuite aux essais (9 au 11 septembre) et à la remise en condition (13 au 27 septembre) de son compère Le Niçois, les deux torpilleurs légers ralliant ensuite Haïphong le 28 septembre pour un exercice commun avec le patrouilleur La Cordelière du 30 septembre au 8 octobre, les deux torpilleurs légers rentrant à Cam-Ranh le lendemain 9 octobre 1945.

Le 16 octobre 1945, Le Savoyard et Le Niçois quittent Cam-Ranh en compagnie du Duquesne pour accueillir au large de Saïgon les torpilleurs légers Le Béarnais et Le Catalan venus de Métropole pour permettre à la 7ème DT d’atteindre son format définitif.

Le Duquesne ravitaille les deux torpilleurs venus de métropole, les cinq navires arrivant à Cam-Ranh le 18 octobre 1945 dans la soirée.

Le 25 octobre 1945, la 7ème DT au complet quitte Cam-Ranh en compagnie du Duquesne et du Duguay Trouin pour un exercice. L’exercice commence par un raid des quatre torpilleurs contre le croiseur lourd suivit par le même exercice contre le croiseur léger puis par l’attaque du croiseur léger par les quatre torpilleurs menés par le croiseur lourd avant que l’inverse ne soit réalisé. Après un exercice de défense aérienne à la mer, la force navale rentre à Cam-Ranh le 29 octobre 1945.

Les torpilleurs légers Le Savoyard (Al), Le Niçois Le Béarnais et le Catalan quittent leur port d’attache le 6 novembre 1945 pour le premier véritable entraînement de division de la 7ème Division de Torpilleurs qui à lieu du 6 novembre au 14 décembre, la division faisant escale à Saïgon du 15 au 20 décembre 1945, rentrant à Cam-Ranh le lendemain.

Le Savoyard et ses trois compères de la 7ème DT quittent Cam-Ranh pour entraînement du 2  janvier au 23 janvier avec une escale à Hué du 10 au 15.

Alors que leurs compères Niçois et Catalan sont engagés dans un exercice combiné avec l’armée de l’air et les deux croiseurs des FNEO, les torpilleurs légers Savoyard et Béarnais effectuent un exercice antisurface du 30 janvier au 7 février, faisant escale à Hué du 8 au 13 février avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Le 21 février 1946, la 7ème DT quitte Cam-Ranh pour le premier véritable entraînement de division de l’année exécuté du 21 février au 2 avril, rentrant le lendemain à Cam-Ranh. Un nouvel entraînement de division à lieu du 11 avril au 18 mai, la division faisant escale à Hué du 19 au 26 avant de rentrer le lendemain à Cam-Ranh.

Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 28 mai au 17 juin, sortant pour essais du 18 au 20  avant remise en condition du 22 juin au 7 juillet en compagnie de ses compères Niçois et Catalan.

Il participe ensuite en compagnie du Catalan aux essais (10 au 12 juillet) et à la remise en condition (14 au 28 juillet) du Béarnais, Le Savoyard et Le Béarnais sortent ensuite pour les essais (1er au 3 août) et pour la remise en condition (5 au 19 août)  du torpilleur léger Niçois.

Les torpilleurs légers Savoyard Béarnais et Niçois participent ensuite aux essais (23 au 25 août) et à la remise en condition (27 août au 9 septembre) du Catalan, la division au grand complet faisant escale à Haïphong du 10 au 15 septembre avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Le 23 septembre, la 7ème DT quitte Cam-Ranh pour un nouvel entraînement de division. Ils croisent alors le croiseur lourd Saint Louis qui étaient en pleine croisière solitaire dans l’Océan Indien et en Extrême Orient.

Après une école à feux du 23 au 29 septembre, les quatre torpilleurs légers se ravitaillent à Tourane avant d’effectuer un exercice commun avec le Saint Louis et  du 1er au 6 octobre, faisant escale avec lui à Haïphong jusqu’au 11 octobre quand les navires se séparent : la 7ème DT continue son entraînement de division alors que le Saint Louis prend le chemin du retour vers la métropole.

Après un entraînement à la défense aérienne à la mer du 12 au 21 octobre, Le Savoyard et ses trois compères font escale à Hué du 22 au 27 octobre avant une série de joutes antisurfaces entre l’équipe bleue (Savoyard et Béarnais) et l’équipe rouge (Niçois et Catalan) au large de Cam-Ranh avec ou sans le concours des batteries côtières et de l’aviation.

Si l’équipe bleue triomphe durant la première (28 octobre au 3 novembre), la seconde (5 au 12 novembre) et la troisième joute (14 au 20 novembre), le parti rouge prend sa revanche durant les deux joutes suivantes (22 au 27 novembre et 29 novembre au 4 décembre) avant que la sixième revanche se termine sur un match nul (6 au 11 décembre) soit un score final de 4-3 en faveur de l’équipe bleue, la 7ème DT mouillant dans l’embouchure de la rivière Saïgon du 12 au 17 décembre avant de rallier Cam-Ranh le lendemain.

Le 1er janvier 1947, Le Savoyard cède son pavillon de chef de division à son sister-ship Le Niçois et quitte Cam-Ranh le lendemain 2 janvier pour rallier Saïgon afin de subir un grand carénage à l’Arsenal d’Indochine en dépit du fait que Cam-Ranh soit parfaitement outillé pour de tels travaux.

Débarquant ses munitions et vidangeant ses soutes, il est échoué dans l’unique bassin de cet arsenal pour remise en état complète et une modernisation de son électronique à l’aide de composants venus de France.

Échoué au bassin du 5 janvier au 15 février 1947, il subit une période de travaux complémentaires à flot jusqu’au 25 février quand il est armé pour essais. Rejoint par ses trois compères de la 7ème DT, Le Savoyard sort pour essais du 26 au 28 février, se ravitaille à Cam-Ranh puis effectue sa remise en condition du 1er au 10 mars, redevenant alors navire-amiral de la 7ème DT.

Le Savoyard sort à nouveau du 12 mars au 4 avril pour un exercice commun de la 7ème DT avec le croiseur Tourville qui à remplacé le Duquesne après son échouage fatal. Les torpilleurs légers laissent le croiseur lourd remonter la rivière Saïgon pour rentrer à Cam-Ranh le lendemain 5 avril, Le Niçois devant subir son premier grand carénage.

Alors que Le Niçois est immobilisé au bassin, Le Savoyard accompagné du Béarnais et du Catalan quittent Cam-Ranh le 12 avril pour un entraînement de division du 12 avril au 17 mai, rentrant le lendemain à Cam-Ranh.

Le Savoyard participe alors en compagnie de ses sister-ships Béarnais et Catalan aux essais (26 au 28 mai) et à la remise en condition (30 mai au 13 juin) du Niçois après le grand carénage de ce dernier.

Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 14 juin au 5 juillet 1947, sortant pour essais du 6 au 8 juillet et pour remise en condition du 10 au 25 juillet en compagnie de ses compères Niçois et Catalan.

Il participe ensuite en compagnie du Niçois aux essais (28 au 30 juillet) et à la remise en condition (1er au 14 août) du Béarnais.

Les torpilleurs légers Savoyard Béarnais et Niçois participent ensuite aux essais (18 au 20 août) et à la remise en condition (22 août au 5 septembre) du Catalan, la division ainsi reconstituée faisant escale à Haïphong du 6 au 9 septembre, à Hong Kong du 11 au 15 septembre, à Manille du 17 au 22 septembre, à Saïgon du 25 au 30 septembre avant de rentrer à Cam-Ranh le lendemain.

Le 8 octobre 1947, Le Savoyard accompagné de ses trois compères de la 7ème DT quittent Cam-Ranh pour un nouvel entraînement de division qui s’achève le 22 décembre après notamment une série de joutes antisurfaces du 19 novembre au 22 décembre. La division rentre à Cam-Ranh le lendemain.

Le Savoyard commence l’année 1948 comme il à terminé l’année 1947 par un entraînement de division qui se déroule du 4 janvier au 2 mars, rentrant à Cam-Ranh en fin de journée.

Alors que Le Béarnais est immobilisé pour grand carénage, Le Savoyard accompagné du Niçois et du Catalan quittent Cam-Ranh le 7 mars pour un nouvel entraînement de division qui s’achève le 13 avril, les trois torpilleurs légers rentrant le lendemain à Cam-Ranh.

Alors que Le Catalan subit son grand carénage, les torpilleurs Savoyard et Niçois participent aux essais (22 au 24 avril) et à la remise en condition (26 avril au 10 mai) du Béarnais, les trois torpilleurs légers faisant escale à Haïphong du 11 au 15 mai, à Hué du 16 au 21 mai et à Tourane du 22 au 27 mai, ralliant Cam-Ranh le lendemain.

Le Savoyard accompagné par ses sister-ships Béarnais et Niçois participent ensuite aux essais (7 au 9 juin) et à la remise en condition du Catalan (11 au 25 juin), les quatre torpilleurs légers ralliant Cam-Ranh le lendemain.

Le Savoyard est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 26 juin au 16 juillet, sortant pour essais (17 au 19 juillet) et pour remise en condition (21 juillet au 5 août) en compagnie de ses compères Béarnais et Catalan.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 7ème DT participent ensuite aux essais (8 au 10 août) et pour remise en condition (12 au 26 août) du Niçois, les quatre torpilleurs rentrant le lendemain  à Cam-Ranh.

Quand éclate la guerre en Europe le 5 septembre 1948, la 7ème DT était à quai même si elle se préparait à sortir pour un entraînement de division.

12-Torpilleurs légers (24)

Le Provençal

Le drapeau de la Provence

Le drapeau de la Provence

-Le Provençal est mis sur cale aux Ateliers et Chantiers de la Loire (ACL) à Nantes le 12 juillet 1941 lancé le 2 octobre 1942 et mis en service le 27 janvier 1944.

Le jour même de son admission au service actif, il quitte Lorient pour rallier Cherbourg le 28 janvier, retrouvant dans le prot normand ses trois compères de la 5ème DT.  La division ainsi au complet sort pour un entraînement de base du 30 janvier au 9 février, les quatre torpilleurs faisant escale à Calais du 10 au 15 février avant de rallier Dunkerque le lendemain.

Le Provençal exécute alors successivement deux entraînements de division, le premier du 24 février au 1er avril et le second du 10 avril au 26 mai 1944.

Le Provençal sort pour entraînement avec Le Saintongeais du 3 au 15 juin, les deux torpilleurs sortant ensuite pour les essais (17 au 19 juin) et la remise en condition (21 juin au 5 juillet) du Normand. Le Provençal participe ensuite en compagnie du Normand aux essais (9 au 11 juillet) et  à la remise en condition (13 au 27 juillet) du Parisien.

Le Provençal est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 31 juillet au 20 août 1944, sortant pour essais (21 au 23 août) et pour remise en condition (25 août au 8 septembre) en compagnie de ses trois compères de division,  la 5ème DT au complet faisant escale à Calais du 9 au 14 septembre et à Douvres du 15 au 21 septembre, rentrant le lendemain  à Dunkerque.

Du 28 septembre au 29 octobre 1944, la 5ème DT effectue un exercice commun avec la 3ème DCT venue de Brest avant de terminer l’année par un entraînement de division du 5 novembre au 19 décembre 1945.

La 5ème Division de Torpilleurs (5ème DT) quitte Dunkerque le 5 novembre 1944 pour le dernier entraînement de division de l’année qui à lieu du 5 novembre au 13 décembre, la division faisant escale à Boulogne du 14 au 18 avant de rentrer à Dunkerque le 19 décembre 1944.

Le Provençal effectue successivement trois entraînements de division, le premier du 5 janvier au 15 février, le second du 22 février au 9 avril et le troisième du 16 avril au 26 mai, la 5ème DT effectuant ensuite un entraînement commun avec le torpilleur d’escadre Le Foudroyant du 1er au 15 juin, date du retour de la division à Dunkerque.

Le Provençal sort pour entraînement du 23 au 30 juin, faisant escale à Dieppe du 1er au 4 juillet, rentrant à Dunkerque le lendemain. Indisponible du 7 au 28 juillet, il sort pour essais les 29 et 30 juillet et pour remise en condition du 1er au 14 août en compagnie du Normand et du Saintongeais.

Le Provençal et Le Normand participent ensuite aux essais (16 et 17 août) et à la remise en condition (19 août au 2 septembre) du Parisien, les trois torpilleurs disponibles de la 5ème DT participant ensuite aux essais (7 et 8 septembre) et à la remise en condition (10 au 13 septembre) du Saintongeais.

La 5ème DT enchaine ensuite par un exercice commun avec les torpilleurs d’escadre L’Intrépide et Le Téméraire du 14 au 30 septembre avant de se séparer, les torpilleurs légers ralliant Dunkerque en fin de journée.

Le 1er octobre 1945, le torpilleur léger Le Normand transmet son pavillon de chef de division au Parisien avant de quitter Dunkerque le lendemain 2 octobre pour rallier Brest le 3 octobre afin de subir son premier grand carénage.
Le Provençal participe alors à un entraînement de division qui commence le 5 octobre et s’achève le 20 novembre quand les trois torpilleurs légers arrivent à Brest.

Le Provençal, Le Parisien et Le Saintongeais participent ensuite aux essais (26 au 28 novembre) et à la remise en condition (30 novembre au 15 décembre) du Normand, la 5ème DT rentre à Dunkerque le 17 décembre 1945, Le Normand redevenant alors chef de la 5ème DT.

Comme en 1945, Le Saintongeais va commencer l’année en enchainant successivement trois entraînements de division, le premier étant exécuté du 7 janvier au 13 février, le second du 20 février au 2 avril et le troisième du 10 avril au 26 mai 1946.

Alors que Le Parisien est en grand carénage à Brest, la 5ème DT réduite à trois torpilleurs sort pour entraînement, du 2 au 22 juin avant d’entrer dans le cycle des indisponibilités estivales pour entretien et permissions de l’équipage.

Le Provençal sort pour un entraînement à la défense aérienne à la mer du 30 juin au 12 juillet, rentrant à Dunkerque le lendemain 13 juillet. Il est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 15 juillet au 5 août, sortant pour essais du 6 au 8 et pour remise en condition du 10 au 24 août en compagnie du Normand.

Le Provençal, Le Normand et Le Parisien sortent ensuite pour les essais (28 au 30 août) et pour la remise en condition (1er au 15 septembre)  du Saintongeais, rentrant le même jour à Dunkerque.

Le Provençal réalise un entraînement de division complet du 22 septembre au 30 octobre puis un entraînement de division sans le Saintongeais en grand carénage du 2 novembre au 10 décembre 1946.

Arrivés à Brest le 10 décembre 1946, Le Provençal et ses deux compères effectuent une sortie en mer d’Iroise du 13 au 18 décembre, ralliant Brest pour se ravitailler. Ils reprennent la mer le 20 pour assister le Saintongeais dans ses essais du 20 au 22 décembre puis dans sa remise en condition du 26 décembre 1946 au 9 janvier 1947, date à laquelle la division rentre à Dunkerque.

La 5ème Division de Torpilleurs effectue une sortie d’entraînement du 15 au 20 janvier pour préparer l’exercice «Météore». Prévu dans un premier temps du 16 au 30 janvier, cet exercice à finalement lieu du 23 janvier au 13 février 1947 en compagnie du pétrolier Suroît et surtout du croiseur léger Waldeck-Rousseau.

Le Provençal quitte Dunkerque le 14 février pour rallier Brest le lendemain afin de subir son premier grand carénage. Débarquant ses munitions et vidangeant ses soutes, Le Provençal est échoué dans le bassin n°7 du 17 février au 24 mars 1947 pour remise en état et modernisation notamment de l’électronique.

Après une période de travaux complémentaires à quai, Le Provençal est armé pour essais le 7 avril 1947, effectuant ses essais à la mer du 8 au 10 puis sa remise en condition du 11 au 25 avril en compagnie de ses compères de la 5ème DT, la division faisant escale à Cherbourg du 26 au 28 avril, au Havre du 29 avril au 3 mai avant de rallier Dunkerque le lendemain. La 5ème DT effectue ensuite un nouvel entraînement de division du 8 mai au 5 juin 1947 avant d’entrer dans le cycle des indisponibilités estivales.

Le Provençal sort pour entraînement du 12 au 25 juin, rentrant à Dunkerque le 26. Il est indisponible du 28 juillet au 18 juin, sortant pour essais (19 au 21 juillet) et pour remise en condition (23 juillet au 7 août) en compagnie du Normand et du Parisien.
Le Provençal et Le Normand participent ensuite aux essais (10 au 12 août) et à la remise en condition (14 au 28 août) du Saintongeais.

Le Provençal, Le Normand et Le Saintongeais participent ensuite aux essais (1er au 3 septembre) et à la remise en condition (5 au 19 septembre) du Parisien, les quatre torpilleurs rentrant le lendemain  à Dunkerque.

Le 27 septembre 1947,  la 5ème DT sort en compagnie de la 8ème DCT et du Waldeck-Rousseau  pour une importante série de manoeuvres automnales baptisées «Noroit» qui occupent les deux divisions du 27 septembre au 30 novembre, date du retour des deux divisions à Dunkerque après notamment plusieurs exercices avec la Royal Navy et le Corps Naval Belge.

Après un entraînement de division du 4 janvier au 13 février 1948, la 5ème DT effectue un exercice commun avec les 6ème et 8ème DCT du 22 février au 2 avril 1948, la 5ème DT rentrant avec la 8ème DCT le lendemain.

La 5ème DT sort ensuite pour un entraînement au combat de nuit avec le Waldeck-Rousseau du 8 au 15 avril 1948 avant un entraînement de division du 22 avril au 25 mai 1948.

Le Provençal, Le Parisien et Le Saintongeais sortent pour entraînement au large de Dunkerque du 30 mai au 8 juin, rentrant le lendemain 9 juin 1948 à Dunkerque.

Le Provençal est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 11 au 26 juin, sortant pour essais du 27 au 29 juin et pour remise en condition du 1er au 10 juillet en compagnie de ses compères Normand et Parisien.

Le Provençal et Le Normand participent ensuite aux essais (12 au 14 juillet) et à la remise en condition (16 au 26 juillet) du Saintongeais.

Le Provençal, Le Normand et Le Saintongeais participent ensuite aux essais (28 au 30 juillet) et à la remise en condition (1er au 15 août) du Parisien, les quatre torpilleurs légers rentrant le lendemain à Dunkerque.

Du 20 au 30 août 1948, la 5ème DT et le croiseur léger Waldeck-Rousseau sortent pour un exercice au combat antisurface doublé d’un exercice de défense aérienne à la mer. Ils rentrent tous à Dunkerque le 1er septembre.

Mis à l’effectif de guerre le 2 septembre 1948, la 5ème DT sort pour entraînement les 3 et 4 septembre, se ravitaillant aussitôt en carburant et en munitions pour se tenir prêt à appareiller en cas de besoin.

12-Torpilleurs légers (23)

Le Saintongeais

Le drapeau de la Saintonge

Le drapeau de la Saintonge

-Le Saintongeais est mis sur cale Ateliers et Chantiers de Bretagne (ACB) à Nantes le 8 juin 1941 lancé le 10 septembre 1942 et mis en service le 12 octobre 1943

A son admission au service actif, il intègre la 5ème Division de Torpilleurs. Les trois torpilleurs effectuent une première sortie commune du 13 au 20 octobre, rentrant à Lorient le 21.

Les trois torpilleurs légers de la 5ème DT quittent Lorient le 28 octobre 1943, se ravitaillent à Cherbourg le 29  avant de rallier Dunkerque le lendemain. Intégré à l’Escadre Légère du Nord (ELN), elle va remplacer la 11ème DT avec qui elle manoeuvre du 31 octobre au 4 novembre 1943.

Le Saintongeais et ses deux compagnons de la 5ème DT effectuent alors un entraînement commun avec les 8ème et 1ère DCT, entraînement qui occupe les trois divisions du 9 novembre au 15 décembre, la 5ème DT restant à quai jusqu’à la fin de l’année civile..

Le Saintongeais et ses deux compères de la 5ème DT quittent Dunkerque pour entraînement à partir du 4 au 26 janvier, ralliant Cherbourg le lendemain. Le 28, ils sont rejoints par le Provençal ce qui permet à la 5ème DT d’atteindre son format définitif. Les quatre torpilleurs légers sortent pour  un entraînement de base du 30 janvier au 9 février, les quatre torpilleurs faisant escale à Calais du 10 au 15  avant de rallier Dunkerque le 16 février 1944.

Le Saintongeais sort alors successivement pour deux entraînements de division, le premier du 24 février au 1er avril et le second du 10 avril au 26 mai 1944 avant le début du cycle des indisponibilités estivales.

Le Saintongeais sort pour entraînement avec Le Provençal du 3 au 15 juin, les deux torpilleurs sortant ensuite pour les essais (17 au 19 juin) et la remise en condition (21 juin au 5 juillet) du Normand.

Le Saintongeais est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 9 au 30 juillet, sortant pour essais du 31 juillet au 2 août et pour remise en condition du 4 au 18 août en compagnie de ses compères Normand et Parisien.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 5ème DT sortant ensuite pour les essais (21 au 23 août) et la remise en condition (25 août au 8 septembre) du Provençal, la 5ème DT au complet faisant escale à Calais du 9 au 14  et à Douvres du 15 au 21 septembre, rentrant le lendemain  à Dunkerque.

Du 28 septembre au 29 octobre 1944, la 5ème DT manoeuvre avec la 3ème DCT avant de terminer l’année par un entraînement de division du 5 novembre au 19 décembre 1944.

Le Saintongeais effectue successivement trois entraînements de division, le premier du 5 janvier au 15 février, le second du 22 février au 9 avril et le troisième du 16 avril au 26 mai, la 5ème DT effectuant ensuite un entraînement commun avec le torpilleur d’escadre Le Foudroyant du 1er au 15 juin, date du retour de la division à Dunkerque.

Le Saintongeais et Le Parisien sortent pour entraînement au large de Dunkerque du 22 juin au 2 juillet, rentrant à Dunkerque le lendemain. Ils participent ensuite aux essais (7 et 8 juillet) et à la remise en condition (10 au 24 juillet) du Normand.

Le Saintongeais participe ensuite aux essais (29 et 30 juillet) et pour remise en condition (1er au 14 août) du Provençal en compagnie du Normand.
Le Saintongeais est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 16 août au 6 septembre, sortant pour essais les 7 et 8 septembre et pour remise en condition du 10 au 13 septembre en compagnie de ses trois compères de la 5ème DT.

La division enchaine  par un exercice commun avec les torpilleurs d’escadre L’Intrépide et Le Téméraire du 14 au 21 septembre, les six navires faisant escale à Anvers du 22 au 25 septembre, à Douvres du 26 au 30 septembre avant de se séparer, les torpilleurs légers ralliant Dunkerque en fin de journée.

Le Saintongeais quitte Dunkerque en compagnie du Parisien et du Provençal pour entraînement de division en Manche du 5 octobre au 19 novembre, les trois torpilleurs légers ralliant Brest le lendemain 20 novembre 1945.

Le Saintongeais, Le Parisien et Le Provençal participent ensuite aux essais (26 au 28 novembre) et à la remise en condition (30 novembre au 15 décembre) du Normand, la 5ème DT rentre à Dunkerque le 17 décembre 1945, Le Normand redevenant alors chef de la 5ème DT.

Comme en 1945, Le Saintongeais commence l’année 1946 par un enchainement de trois entraînements de division, le premier étant exécuté du 7 janvier au 13 février, le second du 20 février au 2 avril et le troisième du 10 avril au 26 mai 1946.

Alors que Le Parisien est en grand carénage à Brest, la 5ème DT réduite à trois navires sort pour entraînement, du 2 au 22 juin avant d’entrer dans le cycle des indisponibilités estivales.

Le Saintongeais sort pour entraînement à la défense aérienne à la mer du 1er au 10 juillet, rentrant le lendemain  à Dunkerque. Il participe ensuite aux essais (15 au 17 juillet) et à la remise en condition (18 juillet au 1er août) du Normand.

Le Saintongeais est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 6 au 27 août, sortant pour essais du 28 au 30 août et pour remise en condition du 1er au 15 septembre en compagnie de ses trois compères de la 5ème DT qui rentre dans la foulée à Dunkerque.

Après un entraînement de division du 2 septembre au 30 octobre, Le Saintongeais quitte Dunkerque le 1er novembre pour rallier Brest le lendemain 2 novembre pour subir son premier grand carénage.

Il débarque ses munitions et vidange ses soutes avant d’être échoué dans le bassin n°7 du 3 novembre au 7 décembre 1946 subissant une remise en état complète et une modernisation de ses capacités militaires notamment au niveau de l’électronique.

Armé pour essais le 19 décembre 1946, il sort pour essais du 20 au 22  puis pour remise en condition du 26 décembre 1946 au 9 janvier 1947 à chaque fois en compagnie de ses trois compères de la 5ème DT, la division rentrant dans la foulée à Dunkerque.

La 5ème Division de Torpilleurs effectue une sortie d’entraînement du 15 au 20 janvier pour préparer l’exercice «Météore». Prévu dans un premier temps du 16 au 30 janvier, cet exercice à finalement lieu du 23 janvier au 13 février 1947 en compagnie du pétrolier Suroît et surtout du croiseur léger Waldeck-Rousseau.

Alors que Le Provençal à rallié Brest pour subir son premier grand carénage, Le Saintongeais et ses compères Parisien et Normand sortent pour entraînement du 24 février du 6 avril, date de l’arrivée de la division à Brest.

Après un rapide ravitaillement à Brest, le Saintongeais et ses trois compères appareillent le 8 avril pour participer aux essais (8 au 10 avril) et à  la remise en condition (11 au 25 avril) du Provençal, la 5ème DT faisant escale à Cherbourg du 26 au 28, au Havre du 29 avril au 3 mai avant de rallier Dunkerque le lendemain. La 5ème DT effectue ensuite un nouvel entraînement de division du 8 mai au 5 juin avant d’entamer le cycle des indisponibilités estivales.

Le Saintongeais sort pour entraînement du 13 au 25 juin avant de participer aux essais (28 au 30 juin) et à la remise en condition (2 au 16 juillet) du Normand en compagnie du Parisien.

Le Saintongeais est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 19 juillet au 9 août, sortant pour essais du 10 au 12 août et pour remise en condition du 14 au 28 août en compagnie du Normand et du Provençal.

Le Saintongeais, Le Normand et Le Provençal participent ensuite aux essais (1er au 3 septembre) et à la remise en condition (5 au 19 septembre) du Parisien, les quatre torpilleurs rentrant le lendemain  à Dunkerque.

Du 27 septembre au 30 novembre 1947, la 5ème DT, la 8ème DCT et le Waldeck-Rousseau sortent pour des manoeuvres automnales baptisés «Noroit» avec des exercices en compagnie de navires britanniques et belges.

Après un entraînement de division du 4 janvier au 13 février, le Saintongeais et ses compères de la 5ème DT manoeuvre avec les 6ème et 8ème DCT du 22 février au 2 avril, la 5ème et la 8ème DCT rentrant le 3 avril 1948 à Dunkerque.

La 5ème DT sort ensuite pour un entraînement au combat de nuit avec le Waldeck-Rousseau du 8 au 15 avril 1948 puis pour un nouvel entraînement de division du 22 avril au 25 mai.

Le Saintongeais, Le Parisien et Le Provençal sortent pour entraînement au large de Dunkerque du 30 mai au 8 juin, rentrant le lendemain 9 juin 1948 à Dunkerque. Le Saintongeais et Le Parisien participent ensuite aux essais (11 au 13 juin) et à la remise en condition (15 au 25 juin) du Normand.

Le Saintongeais est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 27 juin au 11 juillet, sortant ensuite pour essais du 12 au 14 juillet et pour remise en condition du 16 au 26 juillet en compagnie de ses compères Normand et Provençal.

Le Saintongeais Le Normand et Le Provençal participent ensuite aux essais (28 au 30 juillet) et à la remise en condition (1er au 15 août) du Parisien, les quatre torpilleurs légers rentrant le lendemain à Dunkerque.

Du 20 au 30 août 1948, la 5ème DT et le croiseur léger Waldeck-Rousseau sortent pour un exercice au combat antisurface doublé d’un exercice de défense aérienne à la mer. Ils rentrent tous à Dunkerque le 1er septembre.

Mis à l’effectif de guerre le 2 septembre 1948, la 5ème DT sort pour entraînement les 3 et 4 septembre, se ravitaillant aussitôt en carburant et en munitions pour se tenir prêt à appareiller en cas de besoin.

12-Torpilleurs légers (22)

Le Parisien

Armoiries de la ville de Paris "Il flotte mais ne sombre pas"

Armoiries de la ville de Paris « Il flotte mais ne sombre pas »

-Le Parisien est mis sur cale aux Ateliers et Chantiers de la Loire (ACL) à Nantes le 5  novembre 1940 lancé le 14 février 1942 et mis en service le 15 juin 1943

Son admission au service actif permet l’activation de la 5ème DT qu’il forme avec Le Normand. La division sort pour entraînement du 16 au 23 juin, faisant escale à Saint-Nazaire du 24 au 29 juin, ralliant Lorient le lendemain.

Alors que Le Normand est indisponible, Le Parisien poursuit sa mise au point, sortant pour entraînement du 5 au 15 juillet, ralliant lorient le lendemain. Il participe ensuite aux essais (23 au 25 juillet) et à la remise en condition (27 juillet au 10 août) du Normand.

Le Parisien et Le Normand effectue un entraînement de division du 17 août au 19 septembre avant une école à feux du 26 septembre au 3 octobre, rentrant à Lorient le 10 octobre après une escale à Saint-Nazaire du 4 au 9.

Le 12 octobre, Le Saintongeais est admis au service actif, intégrant la 5ème Division de Torpilleurs. Les trois torpilleurs effectuent une première sortie commune du 13 au 20 octobre, rentrant à Lorient le lendemain.

Les trois torpilleurs légers quittent Lorient le 28 octobre 1943, se ravitaillent à Cherbourg le 29  avant de rallier Dunkerque le lendemain. Intégrée à l’Escadre Légère du Nord (ELN), elle va remplacer la 11ème DT avec qui elle manoeuvre du 31 octobre au 4 novembre 1943.

Le Parisien et ses deux compagnons de la 5ème DT effectuent alors un entraînement commun avec la 8ème DCT (Kersaint Cassard) et la 1ère DCT (Jaguar Chacal Léopard) venue de Brest  du 9 novembre au 11 décembre, les 1ère et 8ème DCT restant à Dunkerque jusqu’au 15 décembre. La 5ème DT reste ensuite à quai jusqu’à la fin de l’année civile.

Le Parisien commence l’année 1944 par un entraînement de division du 4 au 26 janvier, ralliant Cherbourg le 27 janvier 1944. Les trois torpilleurs de la 5ème DT y sont rejoints par Le Provençal le lendemain. La division ainsi au complet sort pour un entraînement de base du 30 janvier au 9 février, les quatre torpilleurs faisant escale à Calais du 10 au 15 février avant de rallier Dunkerque le lendemain.

Le Parisien et ses trois compères de la 5ème DT effectuent ensuite deux entraînements de division, le premier du 24 février au 1er avril et le second du 10 avril au 26 mai 1944.

Le Parisien sort pour entraînement (école à feux) du 3 au 12 juin 1944, rentrant à Dunkerque le lendemain. Il est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 17 juin au 8 juillet 1944, sortant pour essais du 9 au 11 juillet et pour remise en condition du 13 au 27 juillet en compagnie du Normand et du Provençal.

Le Parisien et Le Normand participent ensuite aux essais (31 juillet au 2 août) et à la remise en condition (4 au 18 août) du Saintongeais.

Le Parisien, Le Normand et Le Saintongeais participent ensuite aux essais (21 au 23 août) et à la remise en condition (25 août au 8 septembre) du Provençal, la 5ème DT au complet faisant escale à Calais du 9 au 14 septembre et à Douvres du 15 au 21 septembre, rentrant le lendemain à Dunkerque.

Le 28 septembre 1944, Le Parisien et ses trois compagnons quittent Dunkerque pour gagner le Pas de Calais. Dans la journée du 29 septembre, la 5ème DT prend contact avec la 3ème DCT (Panthère Lynx Tigre) venue de Brest pour un entraînement jusqu’au 28 octobre quand les deux divisions quittent Rouen, la 5ème DT rentrant le lendemain  à Dunkerque. La 5ème DT termine l’année par un entraînement de division du 5 novembre au 19 décembre 1944, restant à quai jusqu’à la fin de l’année civile.

Le Parisien enchaine à l’hiver et au printemps 1945 trois entraînements de division, le premier du 5 janvier au 15 février, le second du 22 février au 9 avril et le troisième du 16 avril au 26 mai, effectuant ensuite un entraînement commun avec le  torpilleur d’escadre Le Foudroyant du 1er au 9 juin, les cinq torpilleurs font escale à Cherbourg du 10 au 15 juin, date à laquelle la 5ème DT quitte le port haut-normand pour rentrer à Dunkerque.

Le Parisien et Le Saintongeais sortent pour entraînement au large de Dunkerque du 22 juin au 2 juillet, rentrant à Dunkerque le lendemain. Ils participent ensuite aux essais (7 et 8 juillet) et à la remise en condition (10 au 24 juillet) du Normand.

Le Parisien est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 29 juillet au 15 août 1945, sortant pour essais les 16 et 17  et pour remise en condition du 19 août au 2 septembre en compagnie de ses sister-ships Normand et Provençal.

Le Parisien, Le Normand et Le Provençal participent ensuite aux essais (7 et 8 septembre) et à la remise en condition (10 au 13 septembre) du Saintongeais, la 5ème DT enchainant par un exercice commun avec les torpilleurs d’escadre L’Intrépide et Le Téméraire du 14 au 21 septembre, les six navires faisant escale à Anvers du 22 au 25 et à Douvres du 26 au 30 septembre avant de se séparer, les torpilleurs légers ralliant Dunkerque en fin de journée.

Le 1er octobre 1945, le torpilleur léger Le Normand transmet son pavillon de chef de division au Parisien avant de quitter Dunkerque le lendemain 2 octobre pour rallier Brest le 3 octobre afin de subir son premier grand carénage.
Le Parisien quitte Dunkerque en compagnie du Saintongeais et du Provençal pour entraînement de division en Manche qui se déroule du 5 octobre au 19 novembre, les trois torpilleurs ralliant Brest le lendemain.

Le Parisien, Le Provençal et Le Saintongeais participent ensuite aux essais (26 au 28 novembre) et à la remise en condition (30 novembre au 15 décembre) du Normand, la 5ème DT rentrant à Dunkerque le 17 décembre 1945, Le Normand redevenant alors chef de la 5ème DT.

Comme en 1945, Le Parisien commence l’année en enchainant trois entraînements de division, lui et les trois autres torpilleurs légers de la 5ème DT effectuant un premier entraînement de division du 7 janvier au 13 février, un second  du 20 février au 2 avril et un troisième du 10 avril au 26 mai 1946.

Le 28 mai 1946, Le Parisien quitte Dunkerque pour rallier Brest le 29 mai afin de subir son premier grand carénage. Il débarque ses munitions et vidange ses soutes avant d’être échoué au bassin n°7 de l’Arsenal de Brest du 1er juin au 5 juin 1946 pour remise en état et modernisation avec l’embarquement d’un Asdic, d’un radar de veille combinée et un radar de conduite de tir.

Remis à flot, il connait une période de travaux à quai avant d’être armé pour essais le 22 juillet. Il sort pour essais du 23 au 26 juillet et pour remise en condition du 28 juillet au 12 août, ralliant Dunkerque dans la foulée.

Le Parisien sort à nouveau pour entraînement du 17 au 23 août au large de Dunkerque avant de participer en compagnie du Normand et du Provençal aux essais (28 au 30 août) et à la remise en condition (1er au 15 septembre) du Saintongeais, les quatre navires rentrant le même jour à Dunkerque.

Le Parisien sort pour un entraînement de division au complet du 22 septembre au 30 octobre puis un nouvel entraînement de division en compagnie du Normand et du Provençal et ce du 10 novembre au 10 décembre, date à laquelle la 5ème DT arrive à Brest.

Le Parisien, Le Normand et Le Provençal effectuent une sortie en mer d’Iroise du 13 au 18 décembre, ralliant Brest pour se ravitailler. Ils reprennent la mer le 20 pour assister le Saintongeais dans ses essais du 20 au 22  puis dans sa remise en condition du 26 décembre 1946 au 9 janvier 1947, date à laquelle la division rentre à Dunkerque.

La 5ème Division de Torpilleurs effectue une sortie d’entraînement du 15 au 20 janvier pour préparer l’exercice «Météore». Prévu dans un premier temps du 16 au 30 janvier, cet exercice à finalement lieu du 23 janvier au 13 février 1947 en compagnie du pétrolier Suroît et surtout du croiseur léger Waldeck-Rousseau.

Alors que Le Provençal à rallié Brest pour subir son premier grand carénage, Le Parisien et ses compères Provençal et Saintongeais sortent pour entraînement du 24 février au 6 avril, date à laquelle la 5ème DT arrive à Brest.

Après un rapide ravitaillement à Brest, Le Parisien et ses trois compères reprennent la mer le 8 avril pour participer aux essais (8 au 10 avril) et à  la remise en condition (11 au 25 avril) du Provençal, la 5ème DT faisant escale à Cherbourg du 26 au 28 avril, au Havre du 29 avril au 3 mai avant de rallier Dunkerque le lendemain. La 5ème DT effectue ensuite un nouvel entraînement de division du 8 mai au 5 juin 1947.

Le Parisien sort pour un entraînement à la défense aérienne à la mer du 13 au 21 juin, participant ensuite avec le Saintongeais aux essais (28 au 30 juin) et à la remise en condition (2 au 16 juillet) du Normand.

Il participe ensuite en compagnie du Normand aux essais (19 au 21 juillet) et remise en condition (23 juillet au 7 août) du Provençal.

Le Parisien est indisponible pour entretien et permission de l’équipage du 10 au 31 août, sortant pour essais (1er au 3 septembre) et pour remise en condition (5 au 19 septembre) en compagnie de ses compères, les quatre torpilleurs rentrant le lendemain  à Dunkerque.

Le 27 septembre 1947,  la 5ème DT sort en compagnie de la 8ème DCT et du Waldeck-Rousseau  pour une importante série de manoeuvres automnales baptisées «Noroit» qui se déroulent jusqu’au 30 novembre 1947 quand les navires français rentrent à Dunkerque après avoir manœuvré avec des navires anglais et belges.

Après un entraînement de division du 4 janvier au 13 février 1948, la 5ème DT effectue un entraînement commun avec les 6ème et 8ème DCT du 22 février au au 2 avril, les navires rentrant alors dans leurs ports respectifs, la 5ème DT retrouvant Dunkerque le 3.

La 5ème DT sort ensuite pour un entraînement au combat de nuit avec le Waldeck-Rousseau du 8 au 15 avril 1948 avant un nouvel entraînement de division du 22 avril au 25 mai 1948.

Le Parisien, le Saintongeais et Le Provençal sortent pour entraînement au large de Dunkerque du 30 mai au 8 juin, rentrant le lendemain  à Dunkerque. Le Parisien et Le Saintongeais participent ensuite aux essais (11 au 13 juin) et à la remise en condition (15 au 25 juin) du Normand.

Le Parisien et Le Normand participent ensuite aux essais (27 au 29 juin) et à la remise en condition (1er au 10 juillet) du Provençal.

Le Parisien est indisponibles pour entretien et permissions de l’équipage du 12 au 27 juillet, sortant pour essais du 28 au 30 juillet et pour remise en condition du 1er au 15 août en compagnie de ses compères de la 5ème DT, rentrant le lendemain à Dunkerque.

Du 20 au 30 août 1948, la 5ème DT et le croiseur léger Waldeck-Rousseau sortent pour un exercice au combat antisurface doublé d’un exercice de défense aérienne à la mer. Ils rentrent tous à Dunkerque le 1er septembre.

Mis à l’effectif de guerre le 2 septembre 1948, la 5ème DT sort pour entraînement les 3 et 4 septembre, se ravitaillant aussitôt en carburant et en munitions pour se tenir prêt à appareiller en cas de besoin.

 

12-Torpilleurs légers (20)

Le Tunisien

-Le Tunisien (ex-Le Flamand) est mis sur cale aux Ateliers et Chantiers de la Loire (ACL) à Nantes le 25 juillet 1940 lancé le 15 septembre 1941 et mis en service le 2 septembre 1942.

Intégré à la 3ème DT, Le Tunisien quitte Lorient le 9 septembre avec ses trois compères pour rallier la Tunisie le 23 septembre après une escale à Casablanca du 13 au 18 septembre. La 3ème DT effectue un exercice commun avec la 12ème DT du 24 au 2 octobre, les deux divisions ralliant Bizerte le jour même.

Après un entraînement commun aux unités de la 6ème Escadre Légère du 7 au 25 octobre, la 3ème DT effectue un entraînement commun avec les croiseurs légers La Galissonnière et La Marseillaise du 27 octobre au 4 novembre, les six navires faisant escale commune à La Valette du 5 au 10  avant de rallier Bizerte le 12 novembre 1942.

La 3ème DT termine l’année par un entraînement commun avec les croiseurs légers La Galissonnière et La Marseillaise (2ème DC) et les contre-torpilleurs Mogador et Volta (11ème DCT) du 15 novembre au 22 décembre 1942, passant la fin  de l’année à quai.

Le Tunisien quitte Bizerte le 5 janvier 1943 en compagnie de ses compagnons de la 3ème DT pour un entraînement au large de Bizerte jusqu’au 15 janvier quand les quatre torpilleurs rentrent à  Bizerte pour se ravitailler. Ils enchainent par un entraînement commun avec le croiseur léger Emile Bertin et  du 18 au 27 janvier, les cinq navires rentrant à Bizerte deux jours plus tard.
La 3ème DT _et donc Le Tunisien_ exécute alors trois entraînements de division, le premier du 8 février au 19 mars, le second du 30 mars au 8 mai et le troisième du 15 mai au 17 juin, la division entrant alors un nouveau cycle celui des indisponibilités estivales.

Le Tunisien sort pour entraînement du 24 juin au 3 juillet, ralliant Bizerte le lendemain. Il participe ensuite avec son compère Le Corse aux essais (10 au 12 juillet) et à la remise en condition (14 au 28 juillet) de L’Alsacien.

Le Tunisien et L’Alsacien participent ensuite aux essais (1er au 3 août) et à la remise en condition (5 au 19 août) du Breton.

Indisponible à son tour du 23 août au 12 septembre, Le Tunisien sort pour essais (13 au 15 septembre) et pour remise en condition (17 septembre au 1er octobre) en compagnie de ses trois compères de la 3ème DT,  les quatre torpilleurs légers rentrant le lendemain à Bizerte.
Le Tunisien et les trois autres torpilleurs de la division effectuent ensuite un exercice commun avec les croiseurs légers La Galissonnière et La Marseillaise du 4 au 12 octobre, date à laquelle ils rejoignent Sfax pour une escale jusqu’au 18 octobre. Rejoints dès le 14 par le Jean de Vienne, la 2ème DC et la 3ème DT reprennent la mer pour une série d’exercices qui les occupent du 18 octobre au 9 novembre date de leur retour à Bizerte.
Après la revue navale du 11 novembre 1943, Le Tunisien et ses trois compagnons de division terminent l’année par un entraînement de division du 18 novembre au 21 décembre 1943.

Après un entraînement de division du 5 janvier au 16 février, la 3ème DT participe à la remise en condition des contre-torpilleurs de la 11ème DCT du 22 février au 8 mars  puis enchaine par un entraînement de division du 15 mars au 5 mai puis par les manoeuvres Harmattan du 12 mai au 5 juin 1944.  Les quatre torpilleurs légers rentrent à Bizerte le lendemain.

Les torpilleurs légers Le Tunisien et Le Breton sortent pour un entraînement commun du 12 au 22 juin. Ils participent ensuite aux essais (29 juin au 1er juillet) et à la remise en condition (3 au 17 juillet) de leur compère L’Alsacien.

Le Tunisien est indisponible du 20 juillet au 10 août 1944, sortant pour essais du 11 au 13 août et pour remise en condition du 15 au 29 août en compagnie de ses sister-ships L’Alsacien et Le Corse.

Les trois torpilleurs disponibles de la 3ème DT participent ensuite aux essais (3 au 5 septembre) et à la remise en condition (7 au 21 septembre) du Breton, la 3ème DT rentrant dans la foulée à Bizerte.

La 3ème DT effectue un entraînement au combat de nuit du 25 septembre au 2 octobre en compagnie du croiseur léger Jean de Vienne et du contre-torpilleur Hoche avant deux entraînements de division, le premier du 10 octobre au 13 novembre et le second du 20 novembre au 20 décembre 1944.

Le torpilleur léger Le Tunisien et ses trois compères de la 3ème DT commencent l’année 1945 par un entraînement de division en Méditerranée orientale du 7 janvier au 12 mars

Le Tunisien et Le Corse sortent pour une école à feux du 14 au 20 mars se ravitaillant à Bizerte le 21 mars avant de reprendre la mer pour la suite des exercices. L’équipe Rouge (Le Corse et Le Tunisien) va ainsi affronter l’équipe Bleue (L’Alsacien et Le Breton) du 23 mars au 3 avril, la division reconstituée effectuant une escale commune à Tunis du 4 au 9 avril avant de rentrer à Bizerte le lendemain.

La 3ème Division de Torpilleurs (3ème DT) enchaine par un entraînement commun avec le croiseur léger La Galissonnière du 20 avril au 17 mai puis du 19 au 27 mai avec le concours de la 11ème DCT qui affronte le croiseur et les torpilleurs légers, les navires engagés dans cet exercice rentrant à Bizerte le 28.

Le torpilleur léger Le Tunisien effectue un entraînement de division avec ses compères Corse _chef de division en l’absence de L’Alsacien en grand carénage_ et Breton du 1er juin au 4 juillet, date à laquelle la division rentre à Bizerte.

Le Tunisien sort pour entraînement du 11 au 18 juillet avant de participer en compagnie du Corse aux essais (22 au 24 juillet) et à la remise en condition (26 juillet au 9 août) de L’Alsacien qui au retour des trois navires à Bizerte redevient chef de la 3ème DT.

Les torpilleurs légers Le Tunisien et L’Alsacien sortent pour une école à feux commune du 19 au 26 août, rentrant à Bizerte le lendemain. Ils participent ensuite aux essais (1er au 3 septembre) et à la remise en condition (5 au 20 septembre) du Breton, les trois torpilleurs faisant escale à Sfax du 21 au 25 septembre, rentrant le lendemain  à Bizerte.

Le Tunisien va alors subir son premier grand carénage, étant échoué au bassin n°1 de l’Arsenal de Sidi-Abdallah du 1er octobre au 10 novembre 1945 pour une remise en état complète et une modernisation de ses capacités militaires (électronique, DCA).

Après une période de travaux complémentaires à quai, Le Tunisien sort pour essais (21 au 24 novembre) et pour remise en condition (26 novembre au 10 décembre) en compagnie de ses trois compères de la 3ème DT qui fait escale Bone du 11 au 18 décembre, ralliant Bizerte le 20 décembre et y restant jusqu’à la fin de l’année civile.

Après un entraînement de division «unitaire» du 5 janvier au 2 mars 1946,  Le Tunisien exécute une école à feux du 9 au 15 mars en compagnie de L’Alsacien, les deux torpilleurs légers se ravitaillant à Gabès le 16  avant de reprendre la haute mer en essayant d’échapper à leurs compères Le Corse et Le Breton avec qui ils s’affrontent du 17 au 24 mars, date du retour de la division à Bizerte.

La 3ème DT au complet participe ensuite à la remise en condition du contre-torpilleur Hoche du 26 mars au 12 avril, les cinq navires faisant escale à Alger du 13 au 17 avril, à Tunis du 19 au 23 avril avant de rentrer le lendemain à Bizerte, Le Tunisien et les trois autres navires de la 3ème DT réalisant ensuite un entraînement de division du 2 mai au 2 juin 1946 avant les traditionnelles indisponibilités estivales.

Le Tunisien effectue un entraînement à la défense aérienne à la mer du 9 au 17 juin avant d’être indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 19 juin au 7 juillet, sortant pour essais les 8 et 9 juillet et pour remise en condition du 11 au 22 juillet en compagnie de ses compères L’Alsacien et Le Breton. Le Tunisien et L’Alsacien participent ensuite aux essais (24 et 25 juillet) et à la remise en condition (27 juillet au 7 août) du Corse.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 3ème DT participent alors aux essais (9 au 11 août) et à la remise en condition (13 au 28 août) du Le Breton, les quatre torpilleurs légers faisant escale à Sfax du 29 août au 2 septembre, rentrant le lendemain à Bizerte.

Les torpilleurs légers de la 3ème DT vont alors participer à la remise en condition du croiseur léger Emile Bertin, le navire-amiral de la 6ème Escadre Légère en compagnie des croiseurs légers La Galissonnière et Jean de Vienne de la 2ème DC  du 9 au 21 septembre 1946.

A peine rentré à Bizerte et l’Alsacien et ses trois compagnons de la 3ème DT reprennent la mer pour  un important exercice en compagnie de l’Emile Bertin et de la 11ème DCT, navires de combat accompagné du transport Golo et du pétrolier Mékong équipé pour le ravitaillement à la mer, exercice qui occupe ce groupe occasionnel du 24 septembre au 7 décembre 1946, date à laquelle cette petite escadre rentre à Bizerte.

Les quatre torpilleurs légers de la 3ème DT subissent alors une période d’entretien à flot du 8 au 18 décembre, sortant pour essais les 19 et 20 décembre avant remise en condition du 22 au 30 décembre, date à laquelle ils rentrent à Bizerte.

Le torpilleur léger Le Tunisien commence l’année 1947 par un entraînement commun entre la 3ème DT et le croiseur léger Emile Bertin du 7 au 27 janvier avant un entraînement de division du 3 février au 9 mars, un entraînement commun avec la 4ème DCT  du 18 mars au 10 avril, la 3ème DT rentrant le lendemain à Bizerte et enfin un entraînement de division du 19 avril au 28 mai 1947.

Le Tunisien sort pour entraînement du 5 au 15 juin avant de participer en compagnie du Corse aux essais (19 au 21 juin) et à la remise en condition (23 juin au 7 juillet) de L’Alsacien. Le Tunisien et L’Alsacien participent ensuite aux essais (11 au 13 juillet) et à la remise en condition (15 au 29 juillet) du Breton

Indisponible du 2 au 23 août, le torpilleur léger Le Tunisien sort pour essais du 24 au 26 août et pour remise en condition du 28 août au 10 septembre en compagnie de ses trois compagnons de la 3ème Division de Torpilleurs.

Le Tunisien et les trois autres torpilleurs de la 3ème DT participent alors à un entraînement au combat antisurface avec le croiseur léger Emile Bertin du 15 au 23 septembre 1947, le croiseur et les torpilleurs faisant escale à La Valette du 24 au 27 septembre et à Sfax du 30 septembre au 2 octobre avant de rentrer à Bizerte deux jours plus tard. La 3ème DT termine l’année par deux autres entraînements de division : le premier du 12 octobre au 22 novembre et le second du 29 novembre au 23 décembre 1947.

Après un entraînement commun du 7 au 17 janvier, la 3ème DT se ravitaille à Bizerte le 18  avant de reprendre la mer et de rallier au large de Sfax la  2ème DC et la 1ère DT venue de Toulon pour un entraînement conjoint du 20 janvier au 2 février et du 10 au 15 février, ces deux phases d’entraînement étant séparé par un mouillage dans le Golfe de Gabès.

Les huit torpilleurs légers et les trois croiseurs légers vont ensuite gagner le Levant pour une escale à Lattaquié (18 au 21 février), à Tartous (22 au 25 février) , à Beyrouth (26 février au 2 mars), Haïfa (4 au 7 mars) avant de rentrer à Bizerte le 11 mars 1948.

Les torpilleurs Le Breton, Le Corse et Le Tunisien quittent Bizerte le 18 mars pour entraînement de division, les trois torpilleurs légers (L’Alsacien est en grand carénage) manœuvrant ensemble du 18 mars au 15 avril,  date à laquelle la 3ème DT rentre à Bizerte.

Le 17 avril, la 3ème Division de Torpilleurs quitte Bizerte pour rallier Toulon le 20 avril à l’aube. Le Tunisien et Le Corse sortent pour les essais (26 au 28 avril) et pour la remise en condition (30 avril au 14 mai) de L’Alsacien, la division amputée du Breton _en grand carénage_ rentrant à Bizerte le 17 mai 1948.

La 3ème DT quitte Bizerte le 19 mai pour rallier Toulon trois jours plus tard. Le Tunisien et L’Alsacien sortent  pour les essais (30 mai au 1er juin) et pour la remise en condition (3 au 17 juin) du Breton, les trois torpilleurs ralliant Bizerte le 19 juin 1948.

Les trois torpilleurs disponibles de la 3ème DT sortent ensuite pour entraînement au large de Bizerte du 22 au 27 juin avant de rallier Toulon le 29 juin 1948 au matin.

Le Tunisien subit alors son deuxième grand carénage, étant échoué au bassin Vauban n°9 du 1er juillet au 5 août 1948 pour une remise en état complète. Armé pour essais le 10 août, il sort pour essais du 11 au 13 août et pour remise en condition du 15 au 25 août, à chaque fois en compagnie des trois autres torpilleurs de la 3ème DT,  la division ralliant Bizerte le 28 août 1948.

Le 29 août 1948, Le Tunisien et les trois autres torpilleurs légers de la 3ème DT passent au régime de guerre, sortant pour entraînement au large de Bizerte du 30 août au 4 septembre, recomplétant aussitôt ses soutes pour se tenir prêt à appareiller en cas de menace italienne alors que la tension est à son comble en Europe.

12-Torpilleurs légers (19)

Le Corse

Drapeau de la Corse que le torpilleur léger hissait parfois sous le pavillon tricolore

Drapeau de la Corse que le torpilleur léger hissait parfois sous le pavillon tricolore

-Le Corse est mis sur cale aux Ateliers et Chantiers de la Loire (ACL) sis à Nantes le 26 mars 1940 lancé le 5 juin 1941 et mis en service le 1er septembre 1942

Intégré à la 3ème DT, le torpilleur léger Le Corse quitte Lorient le 9 septembre  pour rallier la Méditerranée, se ravitaillant à Casablanca du 13 au 18 septembre avant de rallier la Tunisie le 23 septembre, retrouvant au large de Bizerte la 12ème DT pour un entraînement commun du 24 septembre au 2 octobre, les deux divisions ralliant Bizerte le jour même.

Après un entraînement commun aux unités de la 6ème Escadre Légère du 7 au 25 octobre, la 3ème DT effectue un entraînement commun avec les croiseurs légers La Galissonnière et La Marseillaise du 27 octobre au 4 novembre, les six navires faisant escale commune à La Valette du 5 au 10 novembre avant de rallier Bizerte deux jours.

La 3ème DT termine l’année par un entraînement avec les croiseurs légers La Galissonnière et La Marseillaise (2ème DC) et des contre-torpilleurs Mogador et Volta (11ème DCT) du 15 novembre au 22 décembre 1942, passant le reste de l’année à quai.

Après un entraînement divisionnaire allégé du 5 au 15 janvier, le torpilleur léger Le Corse et ses trois compères de la 3ème DT effectuent un entraînement commun avec le croiseur léger Emile Bertin du 18 au 27 janvier, rentrant deux jours plus tard à Bizerte.

La 3ème DT _et donc Le Corse_ exécute alors trois entraînements de division, le premier du 8 février au 19 mars, le second du 30 mars au 8 mai et le troisième du 15 mai au 17 juin, la division entrant alors un nouveau cycle celui des indisponibilités estivales.

Le torpilleur léger Le Corse sort pour entraînement du 24 juin au 4 juillet, rentrant à Bizerte le lendemain 5 juillet. Il participe ensuite avec Le Tunisien aux essais (10 au 12 juillet) et à la remise en condition (14 au 28 juillet) de L’Alsacien.

Le Corse est à son tour indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 1er au 22 août, sortant pour essais du 23 au 25 août et pour remise en condition du 27 août au 9 septembre en compagnie de ses compères L’Alsacien et Le Breton.

Il participe ensuite avec les deux torpilleurs nommés aux essais (13 au 15 septembre) et à la remise en condition (17 septembre au 1er octobre) du Tunisien,  les quatre torpilleurs légers rentrant le lendemain  à Bizerte.

Le Corse et les autres torpilleurs de la 3ème DT enchaine par un exercice commun avec les croiseurs légers La Galissonnière et La Marseille du 4 au 12 octobre, date à laquelle ils rallient Sfax où ils sont rejoints deux jours plus tard par le Jean de Vienne. Au complet, les 3ème DT et 2ème DC  manœuvrent ensemble du 18 octobre au 5 novembre avant de rentrer à Bizerte le 9 novembre 1943.

Après avoir participé à une revue navale le 11 novembre 1943 pour le 25ème anniversaire de l’armistice de 1918, la 3ème DT termine l’année par un entraînement de division du 18 novembre au 21 décembre, date à laquelle la division rentre à Bizerte.
Après un entraînement de division du 5 janvier au 16 février 1944, la 3ème DT participe à la remise en condition des contre-torpilleurs de la 11ème DCT Mogador Volta et Hoche et ce du 22 février au 8 mars, les trois puissants contre-torpilleurs  sortant d’une période d’indisponibilité.

Le torpilleur léger Le Corse enchaine ensuite par un nouvel entraînement de division du 15 mars au 5 mai avant une participation aux manoeuvres «Harmattan» du 12 mai au 5 juin 1944 avant d’entamer la période des indisponibilités estivales.

Le Corse sort pour entraînement à la défense aérienne à la mer du 12 au 22 juin, rentrant le lendemain  à Bizerte. Il est ensuite indisponible du 29 juin au 19 juillet, sortant pour essais du 20 au 22 juillet et pour remise en condition du 24 juillet au 7 août en compagnie de L’Alsacien et du Breton.

Il participe ensuite avec L’Alsacien aux essais (11 au 13 août) et à la remise en condition (15 au 29 août) du Tunisien, les trois torpilleurs disponibles de la 3ème DT  participent ensuite aux essais (3 au 5 septembre) et à la remise en condition (7 au 21 septembre) du Breton, la 3ème DT rentrant dans la foulée à Bizerte.

La 3ème DT effectue un entraînement au combat de nuit du 25 septembre au 2 octobre en compagnie du croiseur léger Jean de Vienne et du contre-torpilleur Hoche avant deux entraînements de division, le premier du 10 octobre au 13 novembre et le second du 20 novembre au 20 décembre 1944.

Le torpilleur léger Le Corse et ses trois compères de la 3ème DT commencent l’année 1945 par un entraînement de division en Méditerranée orientale du 7 janvier au 12 mars

Le Corse et Le Tunisien sortent pour une école à feux du 14 au 20 mars se ravitaillant à Bizerte le 21 mars avant de reprendre la mer pour la suite des exercices. L’équipe Rouge (Le Corse et Le Tunisien) va ainsi affronter l’équipe Bleue (L’Alsacien et Le Breton) du 23 mars au 3 avril, la division reconstituée effectuant une escale commune à Tunis du 4 au 9 avril avant de rentrer à Bizerte le lendemain 10 avril 1945.

La 3ème Division de Torpilleurs (3ème DT) enchaine par un entraînement commun avec le croiseur léger La Galissonnière du 20 avril au 17 mai puis du 19 au 27 mai avec le concours de la 11ème DCT qui affronte le croiseur et les torpilleurs légers, les navires engagés dans cet exercice rentrant à Bizerte le lendemain.

Le 29 mai, Le Corse devient chef de la 3ème DT en remplacement de L’Alsacien qui entre en grand carénage. Il étrenne sa nouvelle aura par un entraînement de division du 1er juin au 4 juillet en compagnie de ses sister-ships Le Breton et Le Tunisien.

Le torpilleur léger Le Corse sort pour une école à feux en solitaire du 11 au 18 juillet avant de participer en compagnie du Tunisien aux essais (22 au 24 juillet) et à la remise en condition (26 juillet au 9 août) de L’Alsacien qui venait de réaliser son grand carénage, les trois torpilleurs faisant escale à Tunis du 10 au 15 août avant de rentrer à Bizerte le lendemain. A l’issue de sa remise condition, l’Alsacien redevient chef de la 3ème DT.

Le torpilleur léger Le Corse subit alors son premier grand carénage à l’Arsenal de Sidi-Abdallah du 21 août au 30 septembre avec une remise en état complète et une modernisation. Après une période de travaux complémentaires à flot, Le Corse est armé pour essais le 10 octobre, sortant pour essais (11 au 13 octobre) et pour remise en condition (15 au 29 octobre) en compagnie de ses compères L’Alsacien et Le Breton,  les trois navires rentrant à Bizerte le lendemain.
Les torpilleurs légers Le Corse L’Alsacien et Le Breton sortent pour entraînement au combat antisurface du 5 au 12 novembre, faisant escale à Sfax du 13 au 16 novembre et ralliant leur port d’attache le lendemain.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 3ème DT participent ensuite aux essais (21 au 24 novembre) et à la remise en condition (26 novembre au 10 décembre) du Tunisien, la 3ème DT au grand complet faisant escale à Bône du 11 au 18 décembre, ralliant Bizerte le 20 décembre et y restant jusqu’à la fin de l’année civile.

Après un entraînement de division du 5 janvier au 2 mars 1946, Le Corse et Le Breton effectuent un entraînement à la défense aérienne à la mer du 7 au 14 mars, se ravitaillant à Bizerte le 15  avant de reprendre la haute mer pour un affrontement contre leurs compères L’Alsacien et Le Tunisien et ce du 17 au 24 mars, date du retour de la division à Bizerte.

La 3ème DT au complet participe ensuite à la remise en condition du contre-torpilleur Hoche du 26 mars au 12 avril, les cinq navires faisant escale à Alger du 13 au 17, à Tunis du 19 au 23 avril avant de rentrer le lendemain  à Bizerte. Le Corse effectue ensuite un entraînement de division du 2 mai au 2 juin avant le début d’un nouveau cycle d’indisponibilité estivale.

Le Corse sort pour un entraînement en solitaire du 9 au 17 juin avant de participer en compagnie du Breton aux essais (19 et 20 juin) et à la remise en condition (22 juin au 3 juillet) de L’Alsacien.

Le Corse est indisponible du 8 au 23 juillet, sortant pour essais (24 et 25 juillet) et pour remise en condition (27 juillet au 7 août) en compagnie de ses compères L’Alsacien et Le Tunisien.

Les trois torpilleurs légers disponibles de la 3ème DT participent ensuite aux essais (9 au 11 août) et à la remise en condition (13 au 28 août) du Breton, les quatre torpilleurs légers faisant escale à Sfax du 29 août au 2 septembre, rentrant le lendemain à Bizerte.

Les torpilleurs légers de la 3ème DT vont alors participer à la remise en condition du croiseur léger Emile Bertin, le navire-amiral de la 6ème Escadre Légère en compagnie des croiseurs légers Galissonnière et Jean de Vienne et ce du 9 au 21 septembre 1946.

A peine rentré à Bizerte, Le Corse et ses trois compagnons de la 3ème DT reprennent la mer pour  un important exercice en compagnie de l’Emile Bertin et de la 11ème DCT, navires de combat accompagné du transport Golo et du pétrolier Mékong équipé pour le ravitaillement à la mer, exercice qui occupe ce groupe occasionnel du 24 septembre au 7 décembre 1946, date à laquelle ils rentrent tous à Bizerte.

Les quatre torpilleurs légers de la 3ème DT subissent alors une période d’entretien à flot du 8 au 18 décembre, sortant pour essais les 19 et 20 décembre avant remise en condition du 22 au 30 décembre, date à laquelle ils rentrent à Bizerte.

Le torpilleur léger Le Corse commence l’année 1947 par un entraînement commun entre la 3ème DT et le croiseur léger Emile Bertin du 7 au 27 janvier avant un entraînement de division du 3 février au 9 mars, un entraînement commun avec les contre-torpilleurs Magon Dunois La Hire de la 4ème DCT du 18 mars au 10 avril, la 3ème DT rentrant le lendemain à Bizerte et enfin un entraînement de division du 19 avril au 28 mai 1947.

Le Corse sort pour entraînement à la défense aérienne à la mer du 5 au 15 juin avant de participer en compagnie du Tunisien aux essais (19 au 21 juin) et à la remise en condition (23 juin au 7 juillet) de L’Alsacien.
Le Corse est indisponible pour entretien et permissions de l’équipage du 11 juillet au 1er août, sortant pour essais (2 au 4 août) et pour remise en condition (6 au 20 août) en compagnie de ses compères L’Alsacien et Le Breton.

Les trois torpilleurs disponibles de la 3ème DT participant alors aux essais (24 au 26 août) et à la remise en condition (28 août au 10 septembre) du Tunisien, clôturant la période des indisponibilités estivales.

Le Corse et les trois autres torpilleurs de la 3ème DT participent ensuite à un entraînement au combat antisurface avec le croiseur léger Emile Bertin du 15 au 23 septembre 1947, le croiseur et les torpilleurs faisant escale à La Valette du 24 au 27  et à Sfax du 30 septembre au 2 octobre avant de rentrer à Bizerte deux jours plus tard.

Le Corse et ses compères de la 3ème DT effectuent ensuite deux entraînements de divisions pour terminer l’année, le premier du 12 octobre au 22 novembre et le second du 29 novembre au 23 décembre 1947.

Après un entraînement commun du 7 au 17 janvier, la 3ème DT se ravitaille à Bizerte le 18 janvier 1948 avant de reprendre la mer et de rallier au large de Sfax la 2ème DC et la 1ère DT venue de Toulon  pour un entraînement commun du 20 janvier au 2 février avant un mouillage dans le Golfe de Gabès pour ravitaillement et repos jusqu’au 9.

Les huit torpilleurs légers et les trois croiseurs légers vont ensuite s’entrainer au combat de nuit du 10 au 15 février avant de gagner le Levant pour une escale à Lattaquié (18 au 21 février), à Tartous (22 au 25 février) , à Beyrouth (26 février au 2 mars) et Haïfa (4 au 7 mars) avant de rentrer à Bizerte le 11 mars 1948.

Les torpilleurs Le Corse, Le Breton et Le Tunisien effectuent alors un entraînement de division en l’absence de L’Alsacien en grand carénage du 18 mars au 15 avril, date du retour de la 3ème DT à Bizerte.

Le 17 avril, la 3ème Division de Torpilleurs quitte Bizerte pour rallier Toulon le 20 avril à l’aube. Si Le Corse et Le Tunisien vont participer aux essais et à la remise en condition de L’Alsacien, Le Breton lui va subir un grand carénage.

Le Corse et Le Tunisien participent donc aux essais (26 au 28 avril) et à la remise en condition (30 avril au 14 mai) de L’Alsacien qui à leur retour à Bizerte le  17 mai 1948, L’Alsacien reprend son pavillon de chef de la 3ème DT.

Le Corse, L’Alsacien et Le Tunisien quittent Bizerte le 19 mai pour rallier Toulon 22 mai 1948, le premier pour subir un grand carénage, les deux autres pour tester et remettre en condition Le Breton.

Le torpilleur léger Le Corse est ainsi échoué au bassin Vauban (n°9) du 26 mai au 30 juin pour une remise en état complète. Armé pour essais le 4 juillet, il sort en mer pour essais du 5 au 7 et pour remise en condition du 9 au 23 juillet, à chaque fois en compagnie de ses compères L’Alsacien et Le Breton avec qui il rallie Bizerte le 26 juillet 1948.

La 3ème DT effectue une entraînement combiné du 30 juillet au 7 août, ralliant le 9 août Toulon pour participer aux essais et à la remise en condition du Tunisien. Les quatre torpilleurs légers sortent pour les essais du Tunisien du 11 au 13 août et pour sa remise en condition du 15 au 25 août, la division ralliant Bizerte le 28 août 1948.
Le 29 août 1948, l’Alsacien et les trois autres torpilleurs légers de la 3ème DT passent au régime de guerre, sortant pour entraînement au large de Bizerte du 30 août au 4 septembre, recomplétant aussitôt ses soutes pour se tenir prêt à appareiller en cas de menace italienne alors que la tension est à son comble en Europe.