Cuirassés classe Yamato
Avant-propos
La marine japonaise à été jusqu’à la bataille du Jutland la seule marine à avoir remporté une bataille suite à un combat entre cuirassés aux capacités comparables en l’occurrence la bataille de Tsushima.
Cuirassés classe Yamato
Avant-propos
La marine japonaise à été jusqu’à la bataille du Jutland la seule marine à avoir remporté une bataille suite à un combat entre cuirassés aux capacités comparables en l’occurrence la bataille de Tsushima.
Destroyers classe Fubuki
Le Fubuki
Avant-propos
Comme nous l’avons vu à plusieurs reprises, les japonais comme les allemands sont dans l’obligation de mener des guerres courtes et brutales. En l’absence de ressources naturelles importantes, ils ne peuvent se permettre le luxe de mener des guerres longues, des guerres d’usure.
Croiseurs légers classe Agano
Avant-propos
Les quatre croiseurs légers de classe Agano ont été conçus comme flottilla leader, comme conducteurs de flottille. La vitesse à donc été privilégiée par rapport à l’armement (dimensionné pour affronter des destroyers) et à la protection.
Croiseurs lourds classe Myoko
Avant-propos
Les quatre unités de classe Myoko sont les premiers vrais croiseurs japonais type Washington encore que si ils sont officiellement connus comme des croiseurs de 10000 tonnes, il dépassent allègrement ce tonnage atteignant 15000 tonnes à pleine charge.
Porte-avions classe Unryu
Avant-propos
Après la construction des Taiho, le Japon s’interroge sur l’avenir de sa flotte de porte-avions qui doit être encore augmentée pour faire face à l’augmentation de la Carrier Force américaine.
Porte-avions Shokaku et Zuikaku
Avant-propos
En décembre 1934, le Japon dénonce le traité de Washington signé douze ans plus tôt ce qui lui permet de reprendre sa liberté en terme de conception de navires même si le traité de 1922 ne devait cesser d’être réglementaire que le 31 décembre 1936.
PORTE-AVIONS
Avant-Propos
L’apparition de l’avion en 1903 ne tarde pas à attirer l’attention des marines mondiales sur le plus lourd que l’air. Les dirigeables et autres ballons se révélant difficilement utilisables en haute mer, l’avion puis l’hydravion sont vus comme des vecteurs de renseignement potentiels pour voir au delà de l’horizon.