24-Armée de l’air (46)

 

Bombardement Lourd

Consolidated modèle 32F Géant

Consolidated modèle 32F Géant

-La 15ème Escadre de Bombardement Lourd (15ème EBL) dispose de trois groupes tous équipés de Consolidated modèle 32F, le 1er groupe étant stationné à Caen-Carpiquet (BA 245), le 2ème étant installé à Avord (BA 127) et le 3ème l’étant à Compiègne (BA 152).

-La 17ème Escadre de Bombardement Lourd (17ème EBL) dispose de trois groupes tous équipés de Bloch MB-162 tous stationnés à Lyon-Bron (BA 105). A la mobilisation, le 1er groupe reste à Lyon mais le 2ème groupe rallie la BA 170 de Valence et le 3ème groupe la base aérienne 165 implantée à Orange.

-La 27ème Escadre de Bombardement Lourd (27ème EBL) stationnée à Tunis (BA 204) dispose de trois groupes, le 1er groupe est équipé de Bréguet Br482, le 2ème groupe équipé de CAO-700 et le 3ème groupe équipé de CAO-710 et d’Amiot 415. A la mobilisation, le 2ème groupe rejoint Sfax (BA 209) pour déconcentrer les forces et réduire leur vulnérabilité.

Groupes Indépendants d’Appui Rapproché (GIAR)

-Le 1er groupe indépendant d’appui rapproché (1er GIAR) est stationné à Meaux-Esbly (BA 135)

-Le 2ème groupe indépendant d’appui rapproché (2ème GIAR) est stationné au Buc (BA 129)

-Le 3ème groupe indépendant d’appui rapproché (3ème GIAR) est stationné à Dijon ((BA 102)

-Le 4ème groupe indépendant d’appui rapproché (4ème GIAR) est stationné à Saint-Dizier (BA 192)

Reconnaissance

-39ème Escadre de Reconnaissance Tactique (39ème ERT). Si le GR I/39 est stationné à Chambarand (BA 195), les trois autres groupes sont stationnés au sud de la Loire, le GR II/39 étant installé à Istres (BA 125), le GR III/39 à Perpignan (BA 163) et  le GR IV/39 à Pau (BA 136).

La 55ème Escadre de Reconnaissance Tactique (55ème ERT) dispose de quatre groupes stationnés dans l’Ouest de la France, devenant gagner des terrains de guerre dans l’Est de la France ou en région parisienne.

En attendant, le GR I/55 est stationné à Chateauroux (BA 103), le GR II/55 à Tours (BA 109), le GR III/55 à Montoir de Bretagne (BA 161) et le GR IV/55 à Rouen-Boos sur la base aérienne 146.

-14ème Escadre de Reconnaissance Stratégique (14ème ERS) stationné sur la base aérienne de 112 de Reims avec ses quatre groupes. A la mobilisation, cette unité se déconcentre pour réduire sa vulnérabilité, deux groupes (GR II/14 et GR IV/14) rallient la base aérienne de Chaumont-Sémoutiers (BA 156).

36ème Escadre de Reconnaissance Stratégique (36ème ERS) stationnée sur la base aérienne d’Orange avec ses quatre groupes. A la mobilisation, elle se disperse, le GR II/36 ralliant Le Luc (BA 186) et le GR IV/36 s’installant sur la base aérienne BA 169 Solenzara en Corse, les deux groupes restant à Orange jusqu’en octobre quand le GR III/36 s’installe à Romans dans l’Isère.

Quatre groupes indépendants de reconnaissance (GIR) chargés d’éclairer les CAC et les CC. A la mobilisation, ces groupes sont regroupés administrativement parlant au sein de la 22ème escadre de reconnaissance qui renait après avoir été dissoute lors de la réorganisation des unités de reconnaissance.

Le 1er groupe indépendant de reconnaissance devenu le 9 septembre 1948, le GR I/22 est déployé sur la base aérienne de Paris-Issy (BA 117)

Le 2ème groupe indépendant de reconnaissance devenu le 9 septembre 1948 le GR II/22 est déployé sur la base aérienne de Roye-Amy (BA 158)

Le 3ème groupe indépendant de reconnaissance devenu le 9 septembre 1948 le GR III/22 est déployé sur la base aérienne de Montdidier (BA 158)

Le 4ème groupe indépendant de reconnaissance devenu le 9 septembre 1948 le GR IV/22 est déployé sur la base aérienne de Luxeuil (BA 149).

Huit Groupes Aériens d’Observation. Ces GAO sont destinés à éclairer les Corps d’Armée de réserve stationnés sur un arc de cercle allant de la Normandie à la Bourgogne. Tant que les corps d’armée ne sont pas engagés, ils restent sous le contrôle du CSA.

-Groupe Aérien d’Observation n°514 (GAO-514) stationné à Le Havre-Octeville (BA 147), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°515 (GAO-515) stationné à Dugny/Le Bourget (BA 104), unité équipée de huit Bloch MB-175, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°516 (GAO-516) stationné à La Ferté-Gaucher (BA 140), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°517 (GAO-517) stationné à Nangis (141), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°531 (GAO-531) stationné à Chantilly-les-Aigles (BA 145), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°532 (GAO-532) stationné à Plessis-Belleville (BA 174), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°533 (GAO-533) stationné à Chamblay (BA 239), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

-Groupe Aérien d’Observation n°534 (GAO-534) stationné à Mourmelon (BA 111), unité équipée de huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123

Les GCRO d’Indochine deviennent en septembre 1948 les GAO n°535 et n°536. Le Groupe Colonial de Reconnaissance d’Observation de Corse stationné à Solenzara et disposant du même équipement que les GAO à savoir huit Bloch MB-176, douze Dewoitine D-720 et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 devient le GAO-538.

24-Armée de l’Air (44)

Groupement d’Aviation de la 6ème armée

La 6ème Armée qui couvre un secteur compris entre Colmar et Montbéliard dispose comme les autres armées d’un groupement d’aviation pour assurer la couverture aérienne, l’appui et l’éclairage à l’aide des unités suivantes :

Arsenal VG-36

Arsenal VG-36

-La 14ème escadre de chasse est déployée sur la base aérienne 149 de Luxeuil dispose de deux groupes de chasse équipés d’Arsenal VG-33 et Bréguet Br700C2 et d’un groupe équipé d’Arsenal VG-36 et de Bréguet Br700C2 soit un total de 54 VG-33, 27 VG636 et 27 Bréguet Br700C2.

Glenn-Martin 167F

Glenn-Martin 167F

-L’appui-feu est assuré par deux groupes de bombardement léger, le GB III/32 équipé de Douglas DB-7 et le GB I/62 équipé de Glenn-Martin 167 et 187F stationnés sur la base aérienne 154 d’Epinal et deux groupes de bombardement moyens, les GB I/11 et GB III/11 équipés de Lioré et Olivier Léo 458, groupes stationnés sur la base aérienne 181 de Martigny.

-La reconnaissance est assurée depuis la base aérienne 182 de Neufchâtel par le GR II/33 équipé de trente-six Bloch MB-175.

Le GRAVIA VI-A dispose de 108 chasseurs, de 108 bombardiers légers et moyens et de 36 avions de reconnaissance soit un total de 252 avions.

A ces avions directement sous le commandement de l’armée peuvent s’ajouter les avions des trois corps d’armée, de leurs trois Groupes Aériens d’Observation (GAO).

Le GAO-509 stationné sur la base aérienne de Luxeuil dispose de huit Bloch MB-175 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

Le GAO-512 stationné sur la base aérienne d’Epinal dispose de huit Bloch MB-176 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

Le GAO-528 stationné sur la base aérienne 193 de Belfort dispose de huit Bloch MB-176 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

Cela porte le nombre d’avions disponibles à 357 répartis entre 108 chasseurs ( 54 VG-33, 27 VG636 et 27 Bréguet Br700C2), 54 bombardiers légers (27 Douglas DB-7D, 18 Glenn-Martin 167F et 9 Glenn-Martin 187F), 54 bombardiers moyens Lioré et Olivier Léo 458, 44 avions de reconnaissance Bloch MB-175, 16 Bloch MB-176, 36 Dewoitine D-720 et 45 ANF-Les Mureaux ANF-123.

Groupement d’Aviation de la 8ème armée

Le GRAVIA VIII-A dispose pour assurer la couverture aérienne, l’appui-feu et la reconnaissance des moyens suivants :

-La 15ème Escadre de Chasse stationnée à Chissey (base aérienne 183) dispose de deux groupes équipés d’Arsenal VG-36 et de Bréguet Br700C2 et d’un groupe équipé d’Arsenal VG-39 et de Bréguet Br700C2.

Comparaison en l'Arsenal VG-36 (haut) et l'Arsenal VG-39 (bas)

Comparaison en l’Arsenal VG-36 (haut) et l’Arsenal VG-39 (bas)

-L’appui-feu est assurée depuis la base aérienne 184 de Lure-Malbouhans par un groupe de bombardiers moyens, le GB III/11 équipé de Lioré et Olivier Léo 458 et deux groupes de bombardement légers, les GB II et GB III/62 équipés de Glenn-Martin 167/187F.

-La reconnaissance est assurée depuis la base aérienne 150 de Dole-Tavaux par le GR IV/33 équipée de 36 Bloch MB-175.

Le GRAVIA VIIIA dispose de 108 chasseurs, de 81 bombardiers et 36 avions de reconnaissance soit un total de 225 avions.

A ces avions s’ajoute trois GAO, les GAO-510, GAO-511 et GAO-527.

-Le Groupe Aérien d’Observation 510 stationné à Malbouhans dispose de dispose de huit Bloch MB-176 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

-Le Groupe Aérien d’Observation 511 stationné à Dole-Tavaux dispose de huit Bloch MB-175 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

-Le Groupe Aérien d’Observation 527 stationné à Chissey dispose de huit Bloch MB-176 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

Le nombre d’avions disponibles pour le GRAVIA VIII-A atteint le chiffre de 330 appareils avec 108 chasseurs (81 monomoteurs _54 Arsenal VG-36 et 27 Arsenal VG-39_ et 27 Bréguet Br700C2), 81 bombardiers (27 Lioré et Olivier Léo 458, 36 Glenn-Martin 167F et 18 Glenn-Martin 187F), de 44 Bloch MB-175, de 16 Bloch MB-176, de 36 Dewoitine D-720 et de 45 ANF-Les Mureaux ANF-123.

Groupement d’Aviation de la 5ème armée dite armée des Alpes

Le Groupement d’Aviation de l’Armée des Alpes (GRAVIA-AA ou GRAVIA VA) dispose pour assurer sa mission d’une escadre de chasse, de trois groupes de bombardement légers et d’un groupe de reconnaissance.

-La 16ème escadre de chasse stationnée à Loyettes (BA 185) dispose de trois groupes de chasse équipés d’Arsenal VG-39 et de Bréguet Br700C2.

Douglas DB-7

Douglas DB-7

-La 33ème escadre de bombardement léger à Saint Etienne de Geoirs (BA 196) dispose de trois groupes de bombardement léger équipés de Douglas DB-7D.

-Le GR I/39 assure les missions de reconnaissance depuis la base aérienne 195 Chambarand avec 36 Bloch MB-176.

Le Groupement d’Aviation de l’Armée des Alpes dispose au total de 225 avions répartis entre 108 chasseurs (81 monomoteurs et 27 bimoteurs), 81 bombardiers légers et 36 avions de reconnaissance.

Il peut bénéficier du soutien des trois Groupes Aériens d’Observation (GAO), le GAO-513 stationné à St Etienne de Saint Geoirs avec huit Bloch MB-175 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

Le GAO-529 stationné à Chambarand dispose de huit Bloch MB-176 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir tout comme le GAO-530 stationné à Sisteron qui dispose de huit Bloch MB-176 de reconnaissance armée, de douze Dewoitine D-720 de coopération et quinze ANF-Les Mureaux ANF-123 d’observation et de réglage de tir.

24-Armée de l’air (37)

2ème Zone Aérienne Militaire (2ème Z.A.M)

-La 2ème ZAM dispose du 12ème district qui correspond à la 12ème RM, du 15ème district qui correspond à la 15ème RM, du 16ème district qui correspond à la 16ème RM et du 17ème district qui correspond à la 17ème RM.

-Bases aériennes du 12ème district aérien militaire

-Base aérienne 102 de Dijon

-Base aérienne de Luxeuil qui reçoit en 1944 le numéro 149

-Base aérienne de Dôle qui reçoit en 1944 le numéro 150

-Plate-forme opérationnelle de Chissey-sur-Loue pérénnisé après la démobilisation, devenant la base aérienne 183

-Plate-forme opérationnelle de Lure-Malbouhans désactivée en août 1940 mais réactivée en septembre 1948 sous le nom de base aérienne 184

-Plate-forme opérationnelle de Chamblay désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 239

-Bases aériennes du 15ème district aérien militaire

-Base aérienne 111 de Mourmelon

-Base aérienne 112 de Reims

-Base aérienne de Troyes-Barberey qui reçoit en 1944 le numéro 152

-Base aérienne de Chaumont-Sémoutiers qui reçoit en 1944 le numéro de 156

-Base aérienne de Vouques qui reçoit en 1944 le numéro 189

-Base aérienne de Vitry le François qui reçoit en 1944 le numéro 157

-Base aérienne 138 de Romilly

-Plate-forme opérationnelle de Saint-Dizier maintenue en activité réduite de septembre 1940 à juin 1948 date de son activation sous le nom de base aérienne 192.

-Plate-forme opérationnelle de la Perthe mise en sommeil en août 1940 avec un détachement de gardiennage fournit par la B.A 138. Réactivée dès juillet 1948 avec le nom de base aérienne 191.

-Plate-forme opérationnelle de Wez-Thuizy désaffectée en septembre 1940 mais réactivée en juin 1948 avec le numéro 171.

-Plate-forme opérationnelle de Suippes maintenue en activité réduite de 1940 à 1948 date elle devient une base majeure avec le numéro 172

-Plate-forme opérationnelle de Châtel-Cléhéry désaffectée en septembre 1940 mais réactivée en septembre 1948 comme base aérienne avec le numéro 177.

-Plate-forme opérationnelle de Anglure-Vouarces désaffectée en septembre 1940 mais réactivée en septembre 1948 comme base aérienne avec le numéro 179

-Plate-forme opérationnelle de Challerange désaffectée en septembre 1940 mais réactivée en août 1948 avec le nom de base aérienne 190

-Plate-forme opérationnelle de Tournes-Belval désactivée en juillet 1940. Réactivée à l’été 1948 dans le cadre des préparatifs préliminaires de mobilisation, elle devient la base aérienne 233 en septembre.

-Plate-forme opérationnelle d’Attigny désactivée en juillet 1940. Elle est réactivée en juillet 1948 et devient la base aérienne 235 en septembre.

-Bases aériennes du 16ème district aérien militaire

-Plate-forme opérationnelle de Belfort pérénisée après la démobilisation, recevant le nom de base aérienne 193.

-Base Aérienne 244 de Strasbourg-Entzheim créée en septembre 1947 sur une partie de l’emprise de l’aéroport créé en 1935.

-Bases aériennes du 17ème district aérien militaire

-Base aérienne 121 de Nancy-Essey

-Base aérienne de Toul-Ochey qui en 1944 reçoit le numéro 159

-Base aérienne 138 de Metz-Frescaty

-Base aérienne 151 de Metz-Chambières

-Base aérienne 154 d’Epinal

-Plate-forme opérationnelle de Toul-Croix de Metz qui devient la base aérienne 160 en 1944

-Plate-forme opérationnelle de Xaffevilliers désaffectée en août 1940, réactivée à la mobilisation où elle devient la base aérienne 173

-Plate-forme opérationnelle de Velaine en Haye près de Nancy est désaffectée en août 1940. Elle est réactivée en août 1948 pour déconcentrer les forces stationnées à Nancy et recevant le numéro 180.

-Plate-forme opérationnelle de Martigny-les-Gerbonvaux au sud de Toul est désaffectée en août 1940. Elle est réactivée en août 1948 pour déconcentrer les forces stationnées à Toul et recevant le numéro 181.

-Plate-forme opérationnelle de Neufchâteau au sud de Toul (entre Toul et Martigny-les-Gerbonvaux) est désaffectée en août 1940. Elle est réactivée en août 1948 pour déconcentrer les forces stationnées à Toul, recevant à cette occasion le numéro 182.

-Plate-forme opérationnelle de Stenay désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 234.

-Plate-forme opérationnelle de Spincourt désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 236

-Plate-forme opérationnelle d’Etain désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 237

-Plate-forme opérationnelle de Mars-le-Tour désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 238

-Plate-forme opérationnelle d’Adelot désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 240

-Plate-forme opérationnelle de Delme désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 241

-Plate-forme opérationnelle de Morhange désactivée à l’été 1940, réactivée en août 1948, devenant en septembre, la base aérienne 242