Quatre groupes d’obusiers de 203mm et quatre groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
M-26 Pershing
-1st 3rd 5th & 7th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars
M-18 Hellcat
Quatre bataillons de chasseurs de chars équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons de chasseurs de chars équipés de M-36 Jackson soit un total de 228 chasseurs de chars sachant que chaque bataillon possédait 38 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint).
-3rd US Corps/3ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
« Long Tom »
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Armored Division
-24th Infantry Division (US)
-58th Infantry Division (US)
-8th US Corps/8ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
M-24 Chaffee
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Infantry Division (US)
-42nd Infantry Division (US)
-12th US Corps/12ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-10th Armored Division (US)
-38th Infantry Division (US)
-52th Infantry Division (US)
-7th US Army/7ème Armée Américaine
-Un Etat-Major
-Unités du génie et de soutien logistique
-Groupement d’Artillerie Lourde
Canon de 240mm
Quatre groupes d’obusiers de 203mm et quatre groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
-2nd 4th 6th & 8th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars
Le groupement de chasseurs de chars de la 7ème Armée dispose de deux bataillons équipés de M-10, quatre bataillons équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons équipés de M-36 Jackson. Cela nous donne un total 304 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint).
-1st US Corps/1er Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-2nd Armored Division (US)
-6th Armored Division (US)
-2nd US Corps/2ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-4th Infantry Division (US)
-9th Armored Division (US)
-4th US Corps/4ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-14th Armored Division (US)
-5th Infantry Division (US)
-5th US Corps/5ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-25th Infantry Division (US)
-47th Infantry Division (US)
Réserve Stratégique
1ère Armée Aéroportée Alliée
-Un Etat-major
-Un Groupement d’Entrainement et de Soutien Logistique
-4ème Corps d’Armée (France)/1er Corps d’Armée Parachutiste
-Un Etat-Major
Insigne de la 11ème DP
-11ème Division Parachutiste (11ème DP)
-25ème Division Parachutiste (25ème DP)
-11th British Corps (Airborne)
-Un Etat-Major
-1st Airborne Division (UK)
-6th Airborne Division (UK)
-XVIII Airborne Corps
-Un Etat-Major
-82nd Airborne Division «All American»
-101st Airborne Division «Screaming Eagle»
Divisions Fantômes
Aucun changement en terme de composition, les projets de réactiver des divisions s’est heurté au manque de moyens en terme de troupes et d’encadrement. Quant à la possibilité de dissoudre une division existante pour réactiver une autre mieux valait ne pas y songer sérieusement.
Les divisions fantômes vont donc jouer leur rôle dans les manœuvres d’intoxication dont l’impact sur les allemands sera limité mais pas négligeable selon le vieil adage de l’uchronie «Et si…..»
C’est ainsi que le 2ème CA est «réactivé» avec les 7ème et 36ème DI pour participer à l’opération MANGROVE, un «projet» de débarquement en Frise Occidentale en liaison avec l’engagement des Groupes d’Armées sur le front.
Des officiers, des sous-officiers et des soldats en permission ou en convalescence sont détachés et envoyés en East Anglia pour rendre crédible les informations complaisement distribuées aux allemands par différents canaux.
On verra le redéploiement de quelques unités, le renforcement des batteries côtières mais l’espoir de voir plusieurs divisions être redéployées pour faciliter la percée s’évanouit assez vite.
Autre engagement d’une «Phantom Division» la 71ème DI qui avec la 7ème DIC sont détachés du 27ème CA (mis en sommeil pour l’occasion) pour un pseudo envoi dans les Balkans et en Adriatique.
Quatre groupes d’obusiers de 203mm et quatre groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
M-26 Pershing
-1st 3rd 5th & 7th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars
M-18 Hellcat
Quatre bataillons de chasseurs de chars équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons de chasseurs de chars équipés de M-36 Jackson soit un total de 228 chasseurs de chars sachant que chaque bataillon possèdait 38 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint.
-3rd US Corps/3ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
Long Tom
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Armored Division
-24th Infantry Division (US)
-58th Infantry Division (US)
-8th US Corps/8ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
M-24 Chaffee
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Infantry Division (US)
-42nd Infantry Division (US)
-12th US Corps/12ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaissance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
M-4 Sherman à canon de 76mm
-10th Armored Division (US)
-38th Infantry Division (US)
-52th Infantry Division (US)
-7ème Armée Américaine
-Un Etat-Major
-Unités du génie et de soutien logistique
-Groupement d’Artillerie Lourde
Canon américain de 240mm
Quatre groupes d’obusiers de 203mm et quatre groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
-2nd 4th 6th & 8th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars
M-36 Jackson
Le groupement de chasseurs de chars de la 7ème Armée dispose de deux bataillons équipés de M-10, quatre bataillons équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons équipés de M-36 Jackson. Cela nous donne un total 304 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint).
-1st US Corps/1er Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-2nd Armored Division (US)
Insigne de la 6th AD
-6th Armored Division (US)
-2nd US Corps/2ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-4th Infantry Division (US)
-9th Armored Division (US)
-4th US Corps/4ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-14th Armored Division (US)
-5th Infantry Division (US)
-5th US Corps/5ème Corps d’Armée Américain
Insigne du 5ème CA
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-25th Infantry Division (US)
-47th Infantry Division (US)
Groupe d’Armées n°2 (GA n°2)
-6ème Armée Française
-Un Etat-Major d’Armée
Unités dépendant de la 6ème Armée
Canon de 75mm CA modèle 1944
-6ème Groupement Anti-Aérien de Campagne (6ème GAAC)
-Groupement d’Aviation de la 6ème Armée (GRAVIA-VIA)
-Unités du génie et de soutien logistique
-9ème Corps d’Armée (9ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-609ème Régiment de Pionniers (609ème RP)
-9ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (9ème GRCA)
105L modèle 1936S
-121ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (121ème RALT)
-Element Aérien de Corps d’Armée 509 (EACA-509)
-Unités du génie et de soutien
-31ème DIAlp
-32ème DI
-13ème DI
-12ème Corps d’Armée (12ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-612ème Régiment de Pionniers (612ème RP)
-12ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (12ème GRCA)
-112ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (112ème RALT)
-Element Aérien de Corps d’Armée 512 (EACA-512)
-Unités du génie et de soutien
-35ème DI
-40ème DI
-1ère DIT
-28ème Corps d’Armée (28ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-628ème Régiment de Pionniers (628ème RP)
-28ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (28ème GRCA)
-120ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (120ème RALT) :
-Element Aérien de Corps d’Armée 528 (EACA-528)
-Unités du génie et de soutien
-43ème DI
Chasseurs Alpins
-27ème DIAlp
-54ème DI
-8ème Armée
-Un état-major
-Unités dépendant directement de la 8ème Armée
-GRAVIA-VIIIA (Groupement d’Aviation de la 8ème Armée)
-Groupement Anti-Aérien de Campagne (GAAC) de la 8ème Armée
-Groupement de Soutien Logistique d’Armée
-7ème Corps d’Armée (7ème CA)
-Etat-Major de Corps d’Armée
-607ème Régiment de Pionniers
-7ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (7ème GRCA)
-107ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (107ème RALT)
Quatre groupes d’obusiers de 203mm et quatre groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
M-26 Pershing
-1st 3rd 5th & 7th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars (Tank Destroyer Group)
M-36 Jackson
Quatre bataillons de chasseurs de chars équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons de chasseurs de chars équipés de M-36 Jackson soit un total de 228 chasseurs de chars sachant que chaque bataillon possèdait 38 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint.
-3rd US Corps/3ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
M-24 Chaffee
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Armored Division
-24th Infantry Division (US)
-58th Infantry Division (US)
-8th US Corps/8ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
« Long Tom »
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Infantry Division (US)
-42nd Infantry Division (US)
-12th US Corps/12ème Corps d’Armée Américain
Insigne du 12ème CA
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaissance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-10th Armored Division (US)
-38th Infantry Division (US)
-52th Infantry Division (US)
-7ème Armée Américaine/7th US Army
Cette 7th US Army à été créée à l’été 1951 pour regrouper les divisions d »infanterie et les divisions blindées arrivées entre fin 1950 et le printemps 1951. Ces unités n’ont pas été engagées dans l’opération AVALANCHE pour des raisons de logistique et tactiques, nombre d’entre-elles ayant été tout juste formées et entrainées avant leur grande traversée à travers l’Atlantique.
Un temps il fût envisagé de les placer sous commandement britannique et français pour les aguerrir mais les américains ont vite fait comprendre qu’ils voulaient disposer le plus vite possible d’un groupe d’armées autonome.
-Un Etat-Major
-Unités du génie et de soutien logistique
-Groupement d’Artillerie Lourde
Canon de 240mm
Quatre groupes d’obusiers de 203mm et quatre groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
-2nd 4th 6th & 8th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars
M-18 Hellcat dans un musée
Le groupement de chasseurs de chars de la 7ème Armée dispose de deux bataillons équipés de M-10, quatre bataillons équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons équipés de M-36 Jackson. Cela nous donne un total 304 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint).
-1st US Corps/1er Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
-Un Bataillon de reconnaissance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-2nd Armored Division (US)
-6th Armored Division (US)
-2nd US Corps/2ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-4th Infantry Division (US)
-9th Armored Division (US)
-4th US Corps/4ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-14th Armored Division (US)
-5th Infantry Division (US)
-5th US Corps/5ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-25th Infantry Division (US)
-47th Infantry Division (US)
-Groupe d’Armées n°2 (GA n°2)
-6ème Armée Française
-Un Etat-Major d’Armée
Unités dépendant de la 6ème Armée
Canon de 75mm CA modèle 1932
-6ème Groupement Anti-Aérien de Campagne (6ème GAAC) :
-Groupement d’Aviation de la 6ème Armée (GRAVIA-VIA)
-Unités du génie et de soutien logistique
-9ème Corps d’Armée (9ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-609ème Régiment de Pionniers (609ème RP)
-9ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (9ème GRCA)
105L modèle 1936S en action
-121ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (121ème RALT)
-Element Aérien de Corps d’Armée 509 (EACA-509)
-Unités du génie et de soutien
-31ème DIAlp
-32ème DI
-13ème DI
-12ème Corps d’Armée (12ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-612ème Régiment de Pionniers (612ème RP)
-12ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (12ème GRCA)
-112ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (112ème RALT)
-Element Aérien de Corps d’Armée 512 (EACA-512)
-Unités du génie et de soutien
-35ème DI
-40ème DI
-1ère DIT
-28ème Corps d’Armée (28ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-628ème Régiment de Pionniers (628ème RP)
-28ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (28ème GRCA)
-120ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (120ème RALT) :
-Element Aérien de Corps d’Armée 528 (EACA-528)
-Unités du génie et de soutien
-43ème DI
-27ème DIAlp
-54ème DI
-2ème Armée Française
-Un état-major
-Unités dépendant directement de la 2ème Armée
-GRAVIA-IIA (Groupement d’Aviation de la 2ème Armée)
-Groupement Anti-Aérien de Campagne (GAAC) de la 2ème Armée (GAAC-IIA) :
-Groupement de Soutien Logistique d’Armée
ARL-44
-Groupement de Bataillons de Chars de Combats 502 (GBCC-502) : 70ème et 72ème BCC disposant chacun de trente-quatre chars lourds ARL-44 à canon de 90mm soit un total de 68 chars lourds.
–5ème Corps d’Armée (5ème CA)
-Un Etat-Major
-605ème Régiment de Pionniers
-5ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (5ème GRCA)
-110ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (110ème RALT)
-1ère Division de Grenadiers de la Garde (1ère DGG)
-2ème Division de Grenadiers de la Garde (2ème DGG)
En Réserve pour régénération
-1ère Armée Française
-1st Army (UK)
-4ème Armée Française
-8ème Armée Française
Réserve Stratégique
-1ère Armée Aéroportée Alliée
-1er CCB
-2ème CCB
-3ème CCB
-Réserve Générale d’Artillerie : celle-ci est reconstituée avec le retour sous un commandement centralisé des régiments détachés aux différents corps d’armée. Il s’agit de faire un effet de masse pour une future opération majeure.
-Génie et Soutien Logistique
-Réserve d’Artillerie Américaine
-Unités du Génie et de Soutien Logistique
Cette relève bien que menée de manière la plus discrète possible n’échappe pas aux allemands mais ces derniers seraient bien en peine de s’y opposer vraiment.
On note quelques bombardements d’artillerie vite contre-battus par l’artillerie alliée et des incursions aériennes menées par des chasseurs-bombardiers dont les coups sont plus des piqures d’épingle qu’autre chose.
Les allemands savent de toute façon qu’une relève implique une chose : quelque chose de grand, de fort se préparait. Autant dire qu’avec des moyens de plus en plus limités, autant dire qu’avec la menace soviétique à l’est (malgré l’échec des contre-offensives multiples lancées à l’été) il faut éviter de jouer au poker. La question qui taraude les allemands du Landser au Feldmarshall est la suivante : quand les alliés vont-ils attaquer ? La réponse va arriver un certain 7 décembre 1951.
GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2 GA n°2
NdA Ce Groupe d’Armées n°2 doit à terme redevenir 100% français puisque les américains vont bientôt avoir suffisamment d’unités pour créer deux armées et donc un groupe d’armées.
-3ème Armée Américaine/3rd US Army
-Un Etat-Major
-Unités du génie et de soutien logistique
-Groupement d’Artillerie Lourde
Obusier de 203mm M-1 en position de tir. En arrière plan, l’affût de transport
Huit groupes d’obusiers de 203mm et huit groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
Char lourd M-26 Pershing
-1st 3rd 5th & 7th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing soit un total 232 chars sachant qu’il y à 58 chars lourds par bataillon indépendant de chars lourds.
-Groupement de chasseurs de chars
chasseur de chars M-18 Hellcat
Quatre bataillons de chasseurs de chars équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons de chasseurs de chars équipés de M-36 Jackson soit un total de 228 chasseurs de chars sachant que chaque bataillon possédait 38 chasseurs de chars (36 plus un pour le commandant et un autre pour son adjoint.
-3rd US Corps/3ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
char léger M-24 Chaffee
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Armored Division
-24th Infantry Division (US)
-58th Infantry Division (US)
-8th US Corps/8ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
Canon de 155mm Long Tom
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Infantry Division (US)
-42nd Infantry Division (US)
-12th US Corps/12ème Corps d’Armée Américain
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
-Un Bataillon de reconnaissance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
M-4 Sherman à canon de 76mm
-10th Armored Division (US)
-38th Infantry Division (US)
-52th Infantry Division (US)
4ème Armée Française
-Un Etat-Major d’Armée
-Unités dépendant directement de la 4ème Armée
Canon de 75mm CA modèle 1944
-Groupement Anti-Aérien de Campagne de la 4ème Armée : trois batteries polyvalentes, une batterie disposant de huit canons de 90mm et douze canons de 37mm et deux batteries disposant chacune de huit canons de 75mm et de douze canons de 37mm soit un total de huit canons de 90mm, seize canons de 75mm et trente-six canons de 37mm soit un total de 60 canons. Le doublement des moyens un temps envisagé n’à pas été réalisé.
-Groupement d’Aviation de la 4ème Armée (GRAVIA-IVA)
ARL-44
-Groupement de Bataillons de Chars de Combats 504 :
74ème, 76ème et 77ème BCC disposant chacun de trente-quatre chars lourds ARL-44 à canon de 90mm soit un total de 102 chars. Ce groupement va être placé pour emploi sous l’autorité du 2ème CCB.
NdA initialement placé en réserve d’armée, il monte en ligne pour la phase d’exploitation de l’opération AVALANCHE. Il se place à la gauche de la 4ème Armée et prend donc contact avec le 12th US Army Corps.
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-625ème Régiment de Pionniers (625ème RP)
-25ème GRCA
-181ème RALT
-EACA 525
Insigne de la 1ère DIM
-1ère DIM
-47ème DI
-61ème DI
-26ème Corps d’Armée (26ème CA)
-Etat-Major de Corps d’Armée
-626ème Régiment de Pionniers (626ème RP)
-26ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (26ème GRCA)
-182ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (182ème RALT)
-Unités du génie et de soutien
-Element Aérien de Corps d’Armée 526 (EACA-526)
-4ème DIC
-22ème DI
-53ème DI
-8ème Corps d’Armée (8ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-608ème Régiment de Pionniers (608ème RP)
-8ème Groupement de Reconnaisance de Corps d’Armée (8ème GRCA)
-108ème Régiment d’Artilerie Lourde à Tracteurs (108ème RALT)
-Unité de Génie et de Soutien
-Element Aérien de Corps d’Armée 508 (EACA-508)
-45ème DI
-2ème DINA
-2ème DIT
-16ème Corps d’Armée (16ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-616ème Régiment de Pionniers (616ème RP)
-16ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (16ème GRCA)
-142ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (142ème RALT)
-Unités du génie et de soutien
-Element Aérien de Corps d’Armée 516 (EACA-516)
-6ème DINA
-8ème DINA
-52ème DI
6ème Armée Française
-Un Etat-Major d’Armée
Unités dépendant de la 6ème Armée
Canon de 37mm Schneider modèle 1941
-6ème Groupement Anti-Aérien de Campagne (6ème GAAC) : quatre batteries polyvalentes disposant chacune de huit canons de 75mm et de douze canons de 37mm soit un total de 80 canons antiaériens en ligne.
-Groupement d’Aviation de la 6ème Armée (GRAVIA-VIA)
-Unités du génie et de soutien logistique
Mortier de 280TR modèle 1914
-Renforts d’Artillerie : 357ème RALT (105L modèle 1941T) 194ème RALP (220L modèle 1950S) et 171ème RALP (mortier de 280TR Schneider)
-9ème Corps d’Armée (9ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-609ème Régiment de Pionniers (609ème RP)
-9ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (9ème GRCA)
-121ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (121ème RALT)
-Element Aérien de Corps d’Armée 509 (EACA-509)
-Unités du génie et de soutien
-31ème DIAlp
-32ème DI
Insigne de la 13ème DI
-13ème DI
-12ème Corps d’Armée (12ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-612ème Régiment de Pionniers (612ème RP)
-12ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (12ème GRCA)
-112ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs
-Element Aérien de Corps d’Armée 512 (EACA-512)
-Unités du génie et de soutien
-35ème DI
-40ème DI
-1ère DIT
-28ème Corps d’Armée (28ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-628ème Régiment de Pionniers (628ème RP)
-28ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (28ème GRCA)
-120ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (120ème RALT) :
-Element Aérien de Corps d’Armée 528 (EACA-528)
-Unités du génie et de soutien
-43ème DI
-27ème DIAlp
-54ème DI
2ème Corps de Combat Blindé (2ème CCB)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-Un groupement de soutien logistique
-638ème Régiment de Pionniers (638ème RP)
AMX-44
-2ème Groupement de Reconnaissance de Combat Blindé (2ème GRCB) : seize chars légers AMX-44, seize automitrailleuses puissantes, un escadron motocycliste et le 15ème Bataillon de Chasseurs Portés (15ème BCP)
-119ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (119ème RALT)
-102ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (102ème RALT)
Ce Groupe d’Armées n°2 était initialement tendu par trois armées françaises à savoir les 3ème, 4ème et 6ème Armées. Durant l’opération NIBELUNGEN elles ont multiplié les attaques locales courtes et brutales pour fixer le maximum de troupes ennemies et éviter leur transfert vers la Seine.
Une fois l’ultime offensive stratégique allemande à l’ouest terminée, ce groupe d’armées n°2 est profondément transformé par l’arrivée de la 3ème Armée US qui va remplacer la 3ème Armée qui après un temps en réserve va prendre un créneau capital sur le front puisque couvrant notamment la Ville Lumière.
Après le déclenchement d’AVALANCHE, de nouvelles divisions blindées et d’infanterie vont arriver en France permettant la création d’une 7ème Armée US ce qui par corollaire entrainera la création du 1st USAG (First United States Armies Group) mais ceci est une autre histoire qu’il sera utile de raconter en temps voulu.
-3ème Armée US
-Un Etat-Major
-Unités du génie et de soutien logistique
-Groupement d’Artillerie Lourde
Canon de 240mm
Huit groupes d’obusiers de 203mm et huit groupes de canons de 240mm
-Groupement de Bataillons de Chars
M-26 Pershing
-1st 3rd 5th & 7th Independent Heavy Tank Bataillon disposant de chars lourds M-26 Pershing
-Groupement de chasseurs de chars
chasseur de chars M-18 Hellcat en action
Quatre bataillons de chasseurs de chars équipés de M-18 Hellcat et deux bataillons de chasseurs de chars équipés de M-36 Jackson
-3rd US Corps
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
M-1 Long Tom
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson.
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-1st Armored Division
-24th Infantry Division (US)
-58th Infantry Division (US)
-8th US Corps
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
M-36 Jackson
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-18 Hellcat et de deux bataillons de M-36 Jackson
-Un Bataillon de reconnaissance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
« The Big Red One
-1st Infantry Division (US)
-42nd Infantry Division (US)
-12th US Corps
-Un Etat-Major
-Un Groupement de Soutien Logistique
-Un Régiment d’Artillerie Lourde disposant de canons de 155mm M-1 155mm Gun on Carriage M1 «Long Tom»
-Un Groupement de chasseurs de chars disposant de deux bataillons de M-36 Jackson et de quatre bataillons de M-18 Hellcat
M-24 Chaffee
-Un Bataillon de reconnaisance disposant de chars légers M-24 Chaffee et d’autos blindées M-17
-10th Armored Division (US)
-38th Infantry Division (US)
-52th Infantry Division (US)
4ème Armée Française
-Un Etat-Major d’Armée
-Unités dépendant directement de la 4ème Armée
-Groupement Anti-Aérien de Campagne de la 4ème Armée (GAAC-IV) :
Après l’opération NIBELUNGEN, il est réorganisé sur le même modèle que les GAAC du GA n°1 à savoir des batteries polyvalentes regroupant pièces lourdes et pièces légères pour tenter de créer un barrage aux avions ennemis.
Canon de 90mm CA modèle 1939
Initialement il y avait huit batteries, quatre lourdes (deux de 75mm et deux de 90mm) et quatre légères disposant de canons de 37mm. Comme désormais il n’y aura plus que trois corps d’armée en ligne au lieu de quatre, le nombre de batteries va donc tomber à trois au lieu de quatre initialement prévues, deux batteries disposant de 75mm et de 37mm, une disposant de canons de 90mm et de 37mm, les pièces et les artilleurs en surnombre étant transférées vers d’autres unités.
-Groupement d’Aviation de la 4ème Armée (GRAVIA-IVA)
-Groupement de Bataillons de Chars de Combats 504 :
74ème, 76ème et 77ème BCC disposant chacun de trente-quatre chars lourds ARL-44 à canon de 90mm soit un total de 102 chars.
-Groupement de Soutien Logistique d’Armée
-25ème Corps d’Armée
Ce Corps d’Armée est en réserve d’armée au moment du déclenchement de l’opération AVALANCHE et ne doit monter en ligne qu’une fois le front fermement stabilisé au nord de Paris mais bien entendu tout se passe rarement comme les planificateurs l’ont prévu. Ce corps d’armée comprend les moyens suivants :
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-625ème RP
-25ème GRCA : seize AMX-42, seize AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
-181ème RALT : deux groupes de 105mm équipés de 105L modèle 1941T et deux groupes de 155mm équipés de 155L GPF-T
-EACA 525
-1ère DIM
-47ème DI
-61ème DI
-26ème Corps d’Armée (26ème CA)
-Etat-Major de Corps d’Armée
-626ème Régiment de Pionniers (626ème RP)
-26ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (26ème GRCA) : seize chars légers AMX-42, seize AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
Canon de 105mm long modèle 1936 Schneider
-182ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (182ème RALT) : deux groupes de 105mm 105L modèle 1936S et deux groupes de 155mm équipés de 155L GPF-T
-Unités du génie et de soutien
-Elément Aérien de Corps d’Armée 526 (EACA-526)
-4ème Division d’Infanterie Coloniale (4ème DIC)
-22ème Division d’Infanterie (22ème DI)
-53ème Division d’Infanterie (53ème DI)
-8ème Corps d’Armée (8ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-608ème Régiment de Pionniers
-8ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (8ème GRCA) : seize chars légers AMX-42, seize AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes.
-108ème Régiment d’Artilerie Lourde à Tracteurs (108ème RALT) : deux groupes de 105mm 105L modèle 1936S et deux groupes de 155mm équipés de 155L GPF-T
-16ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (16ème GRCA) : seize chars légers AMX-42, seize AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
-142ème RALT (ex-142ème RALH) : deux groupes de 105mm 105L modèle 1941T et deux groupes de 155mm équipés de 155L modèle 1945S
-Groupement Anti-Aérien de Campagne de la 6ème Armée (GAAC-VIA) :
Canon de 75mm CA modèle 1944
Réorganisé selon un modèle proche de celui de la 4ème Armée, le 6ème GAAC est organisé désormais en un état-major et trois batteries polyvalentes disposant chacune de canons de 75mm et de canons de 37mm pour protéger les trois corps d’armée en ligne, le quatrième étant mis en réserve d’armée pour ménager une ressource humaine que l’on sait difficilement extensible.
-Groupement d’Aviation de la 6ème Armée (GRAVIA-VIA)
-Unités du génie et de soutien logistique
-34ème Corps d’Armée
Ce Corps d’Armée est placé en réserve d’armée pour faire face à une nouvelle attaque allemande ou plutôt pour relever un CA en ligne pour préserver un réservoir humain qu’il convient déjà de ménager. Il comprend les éléments suivants :
-Un Etat-major de corps d’armée
-634ème RP
-34ème GRCA : douze chars légers AMX-42, douze automitrailleuses AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
-147ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (147ème RALT) : deux groupes de 105mm 105L modèle 1936S et deux groupes de 155mm équipés de 155L GPF-T.
-EACA-534
-Unités du génie et de soutien
chasseurs alpins
-28ème Division d’Infanterie Alpine (28ème DIAlp)
-66ème Division d’Infanterie (66ème DI)
-67ème Division d’Infanterie (67ème DI)
-9ème Corps d’Armée (9ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-609ème Régiment de Pionniers
-9ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (9ème GRCA) : seize AMX-42, seize AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
-121ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (121ème RALT) : deux groupes de 105mm équipés de 105L modèle 1936S et deux groupes de 155mm équipés de 155L modèle 1945S
-Elément Aérien de Corps d’Armée 509 (EACA-509)
-Unités du génie et de soutien
-31ème Division d’Infanterie Alpine (31ème DIAlp)
-32ème Division d’Infanterie (32ème DI)
-13ème Division d’Infanterie (13ème DI)
-12ème Corps d’Armée (12ème CA)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-612ème Régiment de Pionniers (612ème RP)
-12ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (12ème GRCA) : douze chars légers AMX-44, douze AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
-112ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (ex-122ème RALH) : deux groupes de 105mm et deux groupes de 155mm
-28ème Groupement de Reconnaissance de Corps d’Armée (28ème GRCA) : douze chars légers AMX-42, douze AM modèle 1940P et un escadron de fusiliers motocyclistes
-120ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (120ème RALT) : deux groupes de 105 équipés de 105L modèle 1941T et deux groupes de 155mm équipés de 155L GPF-T.
-Elément Aérien de Corps d’Armée 528 (EACA-528)
-Unités du génie et de soutien
-43ème Division d’Infanterie (43ème DI)
-27ème Division d’Infanterie Alpine (27ème DIAlp)
-54ème Division d’Infanterie (54ème DI)
2ème Corps de Combat Blindé (2ème CCB)
-Un Etat-Major de Corps d’Armée
-Un groupement de soutien logistique
-638ème Régiment de Pionniers
-2ème Groupement de Reconnaissance de Combat Blindé (2ème GRCB) :
fusiliers motocyclistes armés d’un fusil MAS 36 et d’un fusil mitrailleur modèle 1924/29
seize chars légers AMX-44, seize automitrailleuses puissantes, un escadron motocycliste et le 15ème Bataillon de Chasseurs Portés (15ème BCP)
-119ème Régiment d’Artillerie Lourde à Tracteurs (119ème RALT) :
deux groupes de 105L modèle 1936S et deux groupes de 155L GPF-T
Opération NIBELUNGEN (4 mai 1950) les allemands remettent ça !
En guise d’avant-propos
Le 4 mai 1950 les allemands passent à nouveau à l’action. Une redite de l’opération HUBERTUS ? Humm pas vraiment car les moyens sont nettement plus limités.
Si pour l’opération HUBERTUS il y à débat sur son étendue pour l’opération NIBELUNGEN, il s’agit clairement d’une opération tactique pour repousser la contre-offensive alliée.
Cette opération menée par deux ArmeeKorps (AK) soit six divisions d’infanterie et deux divisions blindées à pour objectif Avranches pour couper le Cotentin du reste du territoire allié et surtout épuisée les moyens alliés (en cours de renforcement par l’arrivée des américains).
A cela s’ajoutait des attaques locales pour fixer des troupes ailleurs sur le front et éviter tout transfert.
Cette opération va réaliser une partie de ses objectifs. Si Avranches reste hors de portée des allemands, en revanche cet assaut va gravement perturber les plans alliés.
L’opération OURAGAN qui devait être engagée quelques jours plus tard va être torpillée et les alliés vont remettre le métier sur l’ouvrage. Exit OURAGAN et place à AVALANCHE qui sera déclenchée comme nous le savons le 18 juin 1951.
En réalité je simplifie. L’opération OURAGAN n’était pas la contre-offensive avec un grand C. C’était davantage une opération à vocation opérative si l’on reprend le jargon soviétique. Il fallait dégager Paris et surtout conquérir de solides têtes de ponts en attendant le lancement d’une offensive majeure.
Cette action allemande va pousser les alliés à changer leur fusil d’épaule. Si la possibilité d’attaquer à l’est de Paris est vite écartée, en revanche pour le franchissement de La Seine on hésite longtemps entre un franchissement majeur et une exploitation directe ou des offensives limitées pour obtenir trois ou quatre têtes de pont pour ensuite reconquérir la France, la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas en attendant de mettre pied dans le Vaterland.
Ordre de Combat de l’opération NIBELUNGEN (1) : Allemagne
NdA Dans cette partie je vais parler uniquement des unités allemandes engagées directement dans l’opération.
-7.ArmeeKorps (2.AK) : 2.S.S Division «Deutschland», 262.InfanterieDivision et 6.InfanterieDivision + des moyens d’appui et de soutien
-5.ArmeeKorps (5.AK) : 26.InfanterieDivision, 61.InfanterieDivision et 268.InfanterieDivision + des moyens d’appui et de soutien
-1.PanzerKorps (1.PzK) : 2.PanzerDivision, 13.PanzerDivision + des moyens d’appui et de soutien
Ces trois corps d’armée bénéficient de l’appui d’unités dépendant du Heeresgruppe Normandie mais aussi de renforts venus d’Allemagne en dépit du fait que la priorité était donnée à la future opération BARBAROSSA.
Des canons de 280mm comme celui-ci vont participer à l’opération NIBELUNGEN.
Ces appuis sont essentiellement des unités du génie avec une 7.PioniereBrigade (7ème brigade de pionniers) et des unités d’artillerie avec un régiment de marche regroupant des canons de 280 et de 406mm sur voie ferrée, un déploiement qui n’à pas échappé aux SR alliés qui ont déclenché des frappes aériennes pour tenter de neutraliser ces monstres mais hélas sans succès.
Outre les attaques menées par ces trois corps d’armée, l’opérateur NIBELUNGEN implique des attaques locales, des attaques de diversion menées par des divisions sous l’autorité du Heeresgruppe Burgund qui couvre le front occidental de Paris à la frontière suisse.
Panzer IV
Quatre divisions d’infanterie sont engagées en l’occurence les 64. 72. 46. 50.InfanterieDivision, les deux premières divisions disposant du soutien de Kampfgruppe fournis respectivement par les 8 et 10.Panzerdivision.
Sur le plan aérien c’est le XV.Fliegerkorps qui assure le soutien de l’attaque principale pendant que le XVI.Fliegerkorps assure la couverture et l’appui-feu des opérations de diversion.
Ordre de Combat de l’opération NIBELUNGEN (2) : Alliés
En face les alliés attendent les allemands de pied ferme. Même si ils savent les allemands massés aux frontières de l’URSS ils craignent un «Coup de Jarnac» pour perturber leur remontée en puissance en vue de l’opération OURAGAN qui mort-née n’à guère laissée de traces dans les livres d’histoire.
Les troupes de première ligne ont reçu la priorité en terme d’armes, de véhicules, de fournitures diverses et surtout la Ligne Morice ne cesse de gagner en épaisseur. Les franco-britanniques sont donc confiants dans leur capacité à repousser une nouvelle tentative allemande.
Comme pour l’Allemagne je ne vais pas rappeler l’ensemble du dispositif allié mais simplement je vais spoiler, divulgâcher en parlant des unités qui vont devoir combattre cette nouvelle offensive allemande.
Projector Infantry Anti-Tank utilisé par des fantassins canadiens. Les canadiens vont être en première ligne lors de l’opération NIBELUNGEN.
Le 7.ArmeeKorps va ainsi attaquer dans le secteur du 2ème Corps d’Armée Canadien qui comprend deux divisions d’infanterie, les 2nd et 4th Canadian (Infantry) Division.
Le 5.ArmeeKorps va lui attaquer le 1er Corps d’Armée Français qui comprend comme GU (Grandes Unités) trois divisions d’infanterie, les 68ème, 4ème et 21ème DI.
Le 1.Panzerkorps lui ne doit être engagé que pour l’exploitation en profitant de la tête de pont la plus intéressante.
A l’est de Paris, la 64.ID et le Kampfgruppe Werner vont attaquer dans le secteur du 2ème Corps d’Armée Polonais et plus précisement celui tenu par la 1er Division de Grenadiers de la Garde (1ère DGG)
la 72.ID et le Kampfgruppe Ostfrank vont attaquer le secteur tenu par la 2ème DI (23ème CA) que l’Abwehr considère comme la plus faible de son corps d’armée (NdA si les hommes de la division avaient su ça avant l’assaut nul doute que leur motivation aurait été décuplée).
La 46.ID va lui attaquer le secteur de la 26ème DI (qui dépend du 24ème CA) alors que la 50.ID va attaquer la 4ème DIC (qui dépend du 26ème CA). Ces deux divisions ne vont pas disposer d’un groupement blindé signe que leur mission est plus encore que les autres une diversion/fixation plus qu’une attaque qui pourrait aboutir à une percée.
En ce qui concerne les forces aériennes, les alliés vont engager des moyens importants, ces moyens qui dépendent soit de l’AASF britannique ou des différents GRAVIA qui sont devenus de simples états-majors piochant dans les unités de l’Armée de l’Air pour mettre sur pied des groupements de circonstance pour une mission précise. A cela s’ajoute les EACA (Elements Aériens de Corps d’Armée) qui ont succédé aux GAO.
NIBELUNGEN oui mais encore
Le 4 mai 1950 le temps est frais et humide, printanier dirions les poètes. La météo les combattants présents sur les deux rives de la Seine, sur les contreforts du Morvan s’en moquent un peu. Ils savent qu’ils sont à la veille d’un combat avec un grand C.
A l’aube l’artillerie allemande ouvre le feu, un matraquage digne de la Campagne de France (1949) un an plus tôt. C’est comme si toute l’artillerie allemande rassemblée en France avait ouvert le feu de concert.
Les pièces de l’artillerie divisionnaire, de l’artillerie de corps d’armée, de l’artillerie de réserve, les canons, les obusiers, les lance-fusées ouvrent le feu contre les positions alliées.
En face ce Grand Matraquage surprend les troupes alliées. Certes depuis quelques jours les troupes allemandes étaient plus agitées que d’habitude, les différents RIF avaient remonté de nombreuses informations mais les alliés sont surpris par la violence de la préparation d’artillerie qui font suite à plusieurs duels d’artillerie depuis une quinzaine de jours.
La préparation d’artillerie qui laisse sonnées les troupes alliées s’accompagne bien vite de frappes aériennes pour bloquer l’arrivée de renforts notamment les unités motomécaniques qui pourraient perturber l’offensive allemande.
S’ajoutant à la fumée et au brouillard naturel, les allemands émettent un brouillard artificiel qui fait d’abord craindre une attaque au gaz ce qui ajoute à la panique et à la confusion du moment.
Comme souvent dans ces moments là certaines unités tiennent le choc, d’autres flanchent pour des raisons qui tiennent aussi bien de l’inexpérience, d’une peur physique incontrolable mais aussi d’un encadrement moins ferme que dans d’autres unités.
Je vais encore une fois me répéter mais un soldat bien encadré, ayant confiance dans ses supérieurs ce sera toujours meilleur au combat qu’un soldat individuellement mieux entrainé mais qui n’à aucune confiance dans les capacités de ses cadres qu’ils soient officiers ou sous-officiers.
Les allemands ne perdent pas de temps et alors que les obus, les roquettes, les bombes pleuvent encore les premiers soldats se lancent dans un périlleux franchissement de la Seine à l’aide d’embarcations motorisées pour gagner du temps.
Ces premiers combattants sont des fantassins ayant bénéficié d’une formation de Stosstrupen et des sapeurs pour éliminer le maximum d’obstacles. Selon les secteurs les allemands prennent fermement pied ou alors sont rapidement culbutés dans La Seine.
Néanmoins dans l’ensemble les allemands ont surpris les alliés qui après plusieurs semaines de vigilance étaient moins attentifs à une possible attaque allemande.
D’autant que quelques heures après l’assaut sur La Seine des attaques sont signalées dans le Morvan. Certes très vite on comprend qu’il s’agit d’avantage d’attaque de diversion, de fixation mais on peut penser que du côté de Bourges on à passé quelques jours et quelques nuits compliquées.
Deux solides têtes de pont sont créées par les allemands, têtes de pont très vite contre-attaquées par les alliés qui mobilisent très vite leurs unités motomécaniques qui néanmoins souffrent sous les coups d’armes antichars allemandes, les Panzerschreck et les Panzerfaust provoquant des trainées sanglantes au sein des Divisions Blindées ou des Armoured Division.
La situation devient telle que le général Villeneuve ordonne aux unités de chars de ne plus attaquer directement sans le concours de l’infanterie, certains «lévriers» et «gros frères» ayant tendance à foncer dans le tas sans trop se préoccuper d’être couverts par l’infanterie, l’artillerie et le génie.
Les allemands ont l’impression d’avoir gagné. Le lendemain 5 mai 1950 les premiers ponts lourds sont mis à l’eau pour permettre aux chars de passer sur la rive sud.
Ces constructions ne sont pas des parties de plaisir, l’artillerie française, britannique et canadienne se reprend tandis que l’aviation alliée dispute aux allemands le contrôle de l’espace aérien, les unités de chasse se rendant coup pour coup.
Les allemands parviennent à franchir la Seine en force en fin d’après midi le 5 mai et surtout le 6 mai 1950. Les deux têtes de pont sont solidement corsetées par les unités alliées mais sont en passe de se rejoindre ce qui serait une véritable catastrophe.
Cette fois le généralissime Villeneuve n’à pas le choix IL FAUT LÂCHER LES CHIENS ! Les deux Corps de Cavalerie Blindée (CCB) sont engagés. Les ordres sont clairs pour les unités motomécaniques françaises bientôt rejointes par le corps blindé britannique et le corps blindé canadien : écraser les allemands.
Le 7 mai 1950 débute la Bataille de Lisieux, la ville normande étant le point le plus extrême de l’avancée allemande en France. Elle oppose les deux corps d’armée ayant franchit La Seine plus le 1.Panzerkorps mais ce dernier à été passablement affaiblit par le franchissement (certains chars ont sombré dans la Seine quand les ponts étaient détruits) ou par la phase d’approche.
Les allemands n’ont pas le temps de préparer leur engagement qu’ils sont agressés par les troupes canadiennes et ceux de la 1ère Armée Française qui vont préparer l’engagement des unités motomécaniques alliées.
Les combats sont d’une violence inouïe. Les combats rapprochés se faisant à la grenade et à l’arme blanche. Les allemands sont ultra-motivés car ils ont le sentiment d’être à un point de bascule alors que les alliés en général et les français en particulier car ils défendent leur pays ce qui est une motivation particulièrement forte vous en conviendrez.
Il faut aussi rappeler que depuis un mois et demi les américains sont enfin rentrés en guerre et si ils sont fort occupés avec les japonais nul doute qu’ils ne tarderont pas à envoyer des troupes en Europe pour aider leurs alliés.
De plus l’opération BARBAROSSA approche et tout affaiblissement des alliés est bon à prendre pour les allemands.
Les enjeux ne manquent et certains historiens se demandent pourquoi ne pas avoir engagé des moyens plus importants pour NIBELUNGEN. Probablement ne le pouvait-il pas eux qui étaient lourdement engagés dans les Balkans et qui devaient également occuper et défendre la Scandinavie contre un possible retour en force des alliés notamment des britanniques.
En milieu d’après midi les chars sont engagés des deux côtés, une gigantesque mêlée où les règles tactiques disparaissent très vite au profit de bagarres de chiffonniers, certains chars se tirent dessus presque à bout portant ! On trouvera ainsi plusieurs épaves calcinées où il était impossible de séparer le char allemand du char allié !
Après une nuit plus calme que la journée, les combats reprennent le lendemain 8 mai 1950. Les alliés prennent le dessus sur les allemands qui comprennent que sauf miracle ils n’iront pas plus loin que Lisieux.
Décision est prise de se replier sur la Seine et de repasser tant bien que mal le fleuve. Il s’agit de ne pas perdre un personnel et un matériel précieux.
Focke-Wulf Fw-190G en vol.
Pour couvrir le repli l’aviation allemande se lance à corps perdu en multipliant les opérations d’interdiction, des chasseurs-bombardiers Focke-Wulf Fw-190G armés de bombes et de roquettes tentent de stopper les unités motomécaniques alliées pendant que parallèlement les chasseurs tentent d’obtenir la supériorité aérienne pour permettre aux bombardiers Ju-188 et Do-217 de frapper sans être trop facilement interceptés.
Dornier Do-217 en vol
Cette opération d’interdiction aérienne porte ses fruits, les allemands vont pouvoir se replier sans être trop pressés par les alliés qui sont comme un peu sonnés, considérant qu’ils sont passés à deux doigts de la catastrophe.
La Bataille de Lisieux se termine le 10 mai 1950 même si quelques combats résiduels sont encore signalés le 11. Les allemands se replient sans trop de casse, parvennant à franchir le fleuve au moment où les alliés se resaisissent enfin.
L’opération NIBELUNGEN se termine le 13 mai 1950 quand les dernières unités allemandes constituées repassent la Seine. Ils s’en doutent peut être mais c’est la dernière fois. Des opérations de nettoyage ont lieu encore jusqu’au 16 date à laquelle les alliés considèrent que la menace allemande est définitivement derrière eux.
De toute façon à cette époque les allemands regardent vers l’est, les alliés vers l’ouest….. .
Vla les américains !
Dès l’entrée en guerre des Etats-Unis, le président Linbergh (élu en 1944, réelu en 1948 et qui est donc en plein deuxième et dernier mandat) à assuré les alliés de leur soutien tant politique que militaire. Cela passe par des escortes de convois, par l’envoi d’unités aériennes et surtout d’unités terrestres en vue de la contre-offensive alliée prévue pour le printemps ou l’été 1951 au plus tard.
Les américains n’ont pas attendu le printemps 1950 pour débarquer en France. Dès septembre 1948 des officiers américains se sont rendus discrètement en France pour inspecter les ports, les routes, les ponts, les bases en vue d’une future participation.
A la différence du premier conflit mondial les américains voient qu’ils n’auront pas à construire d’imposantes infrastructures, la France ayant massivement investit durant la Pax Armada. Les travaux vont se limiter si l’on peut dire à aménager des casernements et des camps d’entrainement.
Dès le mois de juin alors que les ruines de l’opération NIBELUNGEN sont encore fumantes les premiers officiers américains arrivent auprès des état-majors alliés. Si certains se montrent présomptueux et arrogants, beaucoup ne demandent qu’à apprendre.
Côté français, britannique et canadien, les réactions sont contrastées, certains ont peur que les américains ne s’arrogent les lauriers d’une future victoire, d’autres estiment ces «yankees» trop arrogants, trop bien équipés, trop tout quoi. La majorité cependant fait bon accueil aux officiers américains qui après tout ne demandent qu’à apporter leur écot à la victoire finale.
Des travaux importants vont être nécessaires pour construire les bases et les camps nécessaires à accueillir les dizaines de milliers de soldats, de tankistes, d’artilleurs et de sapeurs américains.
L’opération BOLERO est déclenchée le 6 juillet 1950. Les premiers convois arrivent à Brest, à Saint-Nazaire, à La Rochelle et à Bordeaux dès la mi-juillet.
Les dockers français aidés de collègues belges et néerlandais repliés en France (d’autres avaient ralliés la Grande-Bretagne) vont débarquer les hommes, les véhicules, les armes, les munitions, le carburant dans des quantités croissantes. Malgré les sous-marins et les corsaires allemands, la montée en puissance des troupes américaines est rapide.
L’accueil de la population civile est dans l’ensemble aussi enthousiaste qu’en 1917. Bon il y à des personnes inquiets de l’influence sur les «femmes et filles de France», des ronchons mais comme on dit on ne peut pas plaire à tout le monde.
Dans un premier temps les américains vont envoyer deux divisions blindées et six divisions d’infanterie soit huit Grandes Unités auxquelles il faut ajouter des unités d’appui et de soutien. On trouve également deux divisions aéroportées.
Rapidement des divisions supplémentaires sont envoyées portant le total à six divisions blindées et dix divisions d’infanterie (NdA en gras et italique les divisions participant à Avalanche).
Ces divisions sont les 1st, 2nd, 6th, 9th, 10th et 14th Armoured Division mais aussi les 1st, 4th, 5th, 24th, 25th, 38th42nd, 47th, 52nd et 58th Infantry Division.
Ces seize divisions vont former deux armées, la 3ème Armée US qui va relever la 3ème Armée Française au sein du GA n°2 et la 7ème Armée qui après son arrivée permettra la création d’un Groupe d’Armées US (même si cette création ne sera effective qu’après la première phase de l’opération AVALANCHE).
On trouvera également donc deux divisions aéroportées, les 82nd et 101st Airborne Division, les «All American» et les «Screaming Eagle» n’allant pas tarder à entrer dans la légende. Ces deux divisions dépendent de la Réserve Stratégique Interalliée.